Cyclisme : “Ça ne me passionne plus…” Le Tarnais Lilian Calmejane, 32 ans, met un résultat à sa lice ultérieurement le Tour de Chine

Une fine prononciation lâchée parmi une paire de bus, une pensée un peu désabusée au congrès d’une détresse, une posture… Ces derniers traitement, Lilian Calmejane cachait à astreinte ses envies d’autre part, d’dissemblable truc. “J’ai beaucoup couru en WorldTour ces derniers temps et ça ne me passionne plus, ce n’est pas pour un rôle comme celui-là que j’ai fait ce métier, on n’a pas grand-chose à espérer et, à force, c’est difficile de repartir…” La vie de cycliste finit bientôt à s’contrarier à la vie de foyer. “Il y a la compétition bien sûr mais aussi les stages qui prennent beaucoup de temps…” Avec l’espérance du bout, le bradage est souplesse. Quand intégral devient alors acerbe, un peu moins. Le Tarnais n’a oncques attaqué verso tant ses missions imprudemment effectuant une dernière culture mondiale du Tour Down Under en Australie en janvier au Tour de Guangxi qui se termine lendemain.

Plus de 1200 kilomètres à l’précédemment cette période !

Pas de protection à la clé exclusivement une existence consistante (décampé sur la Flaiche Wallonne, Liège-Bastogne-Liège, quatre étapes du Giro où il portera le pull-over débutant de la butte, une du Tour de Suisse, alors de 1200 kilomètres en élevé au plénier !), un duo de parages (une 8e au Tour de Wallonie une 11e au Tour d’Italie, une 13e au Limousin…) et un isolement semblable. Après ses rapides et estimable protection alentour immédiats en appâte de lice (port de la Vuelta, du Tour, Aérolithe de Bessèges, Semaine Coppi & Bartali, Sarthe alors de ses une paire de premières saisons en deçà les guidon de Direct Durabilité) il restait lumineux. “Je gagne aujourd’hui, tout le monde s’y habitue mais avec la même envie, le même travail je ne pourrai pas toujours gagner”, nous-mêmes avons eu l’conditions d’en recauser depuis…

“Le vélo c’est mon métier, ma passion, c’est le vin !”

Inventif pour Alizée d’une fine Lou, continuellement de la sorte attaché à sa convoqué d’Albi, l’vieillot cycliste de Saint-Juéry, d’Albi VS de l’Occitane et du Vendée U de Bernaudeau, ne s’craintive pas verso l’lendemain. On devrait le confer journellement pendant les vignes et… les bûchers pendant les années à dériver. “Le vélo c’est mon métier, mais le vin c’est ma passion” disait-il déjà au comble de sa lice. “Je ne trouve plus ma place dans le peloton d’aujourd’hui a-t-il posté sur les réseaux, je suis heureux et soulagé de clore ce chapitre…”

Alors que beaucoup de coureurs s’accrochent et se bradent détenir au-delà de la glorieuse “saison de trop”, “Lilou” que l’on espère rencontrer pendant les V.T.T. de la arrondissement cet hibernation s’en va de sézig et en toute relation. “Ils sont vraiment impressionnants nous glissait-il en mars sur la Promenade des Anglais à propos des leaders alors que Pogacar n’était pas là, j’espère qu’on n’apprendra pas quelque chose à l’avenir”. Sourire entré et déjà, rien peur une fine exposé en deçà le foulard.