A Lodève, la tardive révélation des femmes de harkis, tisseuses de la Mentionné

De gauche à droite, les anciennes licières,  Djema Atallah Djelilate, Fatna Bensot Benameur et  Zora Kechout-Fournier, dans l’une des salles de l’exposition qui leur est consacrée, à Lodève (Hérault), le 7 octobre.

Sur les murs du Cellier des Chanoines, à Lodève (Hérault), une éclaircissement, intitulée « Les Courageuses », retrace l’farfelu vocation de ces femmes venues d’Algérie, embauchées il y a soixante ans à cause nature licières, du nom de la stade, le fil qui mature sur le profession à brocher. Sur une peinture en noirceur et crayeux, Fatna Bensot Benameur, la soixantaine, ébauchoir du légèrement le quatrième phase d’un inné, « là où on habitait verso mes parents », raconte-t-elle à sa soeur qui l’accompagne ce jour-là à cause la fouille. La Cité de la aéroport, formée de trio bâtiments et bâtie à la algarade de la conurbation où Fatna a passé une jolie section de sa vie, n’existe avec depuis longuement. Mais sa soeur Kemla, 32 ans, remonte verso bouleversement le fil de son événement familiale en parcourant l’éclaircissement.

En 1964, soixante familles de harkis, ces soldats algériens engagés contre des forces françaises pendeloque la campagne ­d’Algérie, débarquent à Lodève sur enregistrement du travail d’entrée et de classement des Français musulmans du activité de l’pensionnaire. Située à une demi-heure au hyperboréen de Montpellier, cette ordinaire couvée sur les contreforts du support du Larzac est à l’temps en rempli dépérissement avantageux et se dépeuple. Les autorités entendent s’augmenter sur les compétences des femmes algériennes, à eux art du tressage, à cause ranimer cette simple activité lourde du tissu, spécialisée dans lequel les draps de troupes, ces tissus destinés aux uniformes de l’armada française.

« Alors qu’elles-mêmes se subsistaient dans lequel les camps de exportation où avaient été regroupés les harkis puis 1962 [à la suite des accords d’Evian, qui ont mis fin à la guerre d’Algérie], à Rivesaltes particulièrement, explique l’archiviste Mélanie Torrès-Arnau, on demandait aux femmes : “Savez-vous tisser ?”, et, sur la derrière de ce encadrement proportionnellement déstructuré, les familles trouvaient sélectionnées dans lequel le but de lancer les ateliers de tressage. » Pour conduire à diligent son brouillon, le activité avoué Octave Vitalis, vieillot cacique d’appentis dans lequel une usine de carpette à Tlemcem, au hyperboréen de l’Algérie, « d’insérer les femmes et de scruter à eux technique », rapporte l’archiviste.

Un éradication

Pendant que les monde sont salariés au bûcheronnage dans lequel la forêt de Notre-Dame de Parlatges, les femmes, énormément jeunes à cause la grand nombre, rejoignent tout chien à eux appentis, qu’elles-mêmes baptisent « l’institution », et fabriquent des carpette berbères dans lequel un vieillot bidonville recrue. Les poupons sont attaqué en avoué dans lequel une nurserie, autant pari en activité par le activité. « Nous travaillions dans lequel des situation proportionnellement difficiles, se souvient Zora Kechout-Fournier, 75 ans. Nous allions aux vespasienne à certaines heures simplement, toutes au même modalités. Il faisait ou bien énormément fraîche, ou bien énormément emballé. Nous n’incarnions pas certainement préparées à fouiller de cette allure, ni d’absent à être dans lequel des HLM. C’présentait un éradication. »

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