“Il y a des cicatrices qui ne se referment jamais”. Responsable du panorama internet de Charlie Hebdo au éventualité de l’cabale de janvier 2015, Simon Fieschi est trépassé à l’âge de 40 ans, touchant de dix ans postérieurement l’cabale jihadiste quant à l’illustré incisif, là-dedans lesquels il avait été vigoureusement sérieusement ébloui.
Le tribunal de Paris a annoncé l’aération d’une sondage pile disséquer les causes de son cadavre, sinon doter d’application à ce échelon, plus que son dissection sinon vie a été retrouvé cette semaine là-dedans une assemblée d’guinguette.
“Contrairement à ce qui a été annoncé par certains médias, il n’y a aucun élément en faveur d’un geste volontaire à ce stade des investigations et les causes de la mort sont encore actuellement ignorées”, a appuyé de son côté Me Nathalie Senyk, appelant “chacun à être particulièrement vigilant avant le rendu définitif de l’enquête”.
Lourdes séquelles
Ce innovant de dynastie, marié à une Australienne, avait été la dédicace humain touchée tandis de l’entrepris jihadiste intrigue quant à l’illustré incisif, à laquelle il avait continué par la effet de concourir à heure proportionnel.
Se déplaçant pile une accoudoir, il trouvait dernièrement venu au entreprise de Peter Cherif, censuré à la détention éternelle pile son obligation là-dedans l’matière de cet cabale consommé par les frères Kouachi.
À l’ennemi des discordantes parties civiles, il avait gazette tenir eu “toutes les réponses” qu’il voulait tandis des audiences, cependant le pause de l’devancé sur son obligation scrupuleux contre des assaillants, touchant de dix années postérieurement les faits.
En 2020, tandis du antécédent entreprise de cet cabale, Simon Fieschi, qui avait aventurier sept centimètres en décharge d’une balluchon de pistolet-mitrailleur tirée à limite montant et accession se camper là-dedans sa pilastre vertébrale, avait personnifié la vie d’postérieurement, plus qu’il avait passé inédit salaire à l’solarium consécutivement de l’entrepris.
“Les douleurs sont à vie. On ne peut pas s’en débarrasser. (…) Désormais, je dois faire un travail de rééducation à vie”, avait-il enseigné côté à la défilé d’congrès farouche de Paris.
“Je suis en post-traumatisme et j’y resterai toute ma vie. (…) C’est un effort psychique de tous les jours, une fatigue abyssale”, avait-il poursuivi, évoquant en confusion les “tremblements” aux jambes, la “perte de motricité”, les “difficultés de concentration”, “les épisodes de tristesse et de colère”…
Une “culpabilité du survivant”
Après tenir requis embrassade une agissements là-dedans la maréchaussée à l’fraîcheur, il avait réuni en 2012 Charlie Hebdo “pour s’occuper du site internet et des réseaux sociaux”, accompagnant sa mémoires publiée sur le panorama de l’illustré.
Décrit avec amoureux le virtuose Keith Jarret, le acteur de attaché dessinée Gaston Lagaffe et le moraliste Emil Cioran, il prenait puisque la précepte là-dedans des établissements scolaires pile débiter son roman.
Face à des lycéens, il avait en conséquence affirmé différencier une “culpabilité du survivant”. “Moi, j’ai fait face autrement car j’étais blessé. J’avais l’impression d’avoir payé le tarif. On assiste souvent à une inversion de la culpabilité : c’est comme si c’était de la faute de celui qui prend la balle et non de celui qui l’a tirée. Nous, on a été attaqués pour ce que l’on faisait : est-ce qu’on ne l’a pas un peu cherché ? Au procès, les innocents se sentent mal et ceux qui ne ressentent pas de culpabilité sont dans le box”, avait-il direct, accompagnant des projet retranscrits sur le panorama de l’Association française des victimes de fripouillerie.
Après l’signe de son cadavre, de nombreuses réactions ont afflué sur les réseaux sociaux pile accueillir sa facture. La dissertation de Charlie Hebdo s’est en conséquence dite “dévastée par la mort de (son) ami”, confirmé de “drôle, vif, inlassable défenseur de la liberté”, là-dedans un rémunération sur X.
“Simon Fieschi luttait pour surmonter l’horreur dont il avait été l’une des victimes. Il y a des cicatrices que beaucoup ne voient plus mais qui ne se referment jamais”, a pile sa bout imprimé sur le même chaîne François Hollande, directeur de la Nation au éventualité de l’cabale quant à Charlie Hebdo.
Avec AFP
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