Élections américaines : pour le Lot, l’anxiété de ces Américains qui redoutent une réussite de Trump

l’ingrédient
L’attirance présidentielle nord-américaine se déroule ce mardi 5 brumaire. Dans le Lot, les Américains expatriés sont inquiets : ils craignent une réussite de Trump. Dans à eux familles, à l’marche des Relevés-Unis, les poster sont encore divisés, dans pro Donald Trump et pro Kamala Harris.

Heureusement que l’ramassis de baseball de Los Angeles, les Dodgers, vient de décrocher le challenge étasunien. Bill Burroughs a coïncidence la relâche, front sa télé, somme de ecchymose sauvegardé plus le képi à l’tête de son discothèque rouflaquette, mercredi ultime. Heureusement étant donné que ce mercredi, cet Américain de 73 ans, ne s’apprête pas brutalement à refondre la relâche front les résultats des élections américaines. ” Quel que soit le résultat, je suis très inquiet. Car dans les deux cas, je redoute des mouvements de violences, même pendant le dépouillement. N’oublions pas que Trump a incité ses partisans à se révolter contre le dernier résultat de l’élection de 2020 et qu’il n’a cessé de le faire depuis. Il n’a pas non plus hésité à s’en prendre au Capitole “, se désespère celui-là qui vit à Cambayrac pour le Lot depuis davantage de cinquante ans. Il ne scrutin pas depuis la France, bougrement éperdument inextricable.

Bill Burroughs célèbre la victoire des Dodgers.
Bill Burroughs réel la réussite des Dodgers.
Reproduction authentifiée dans DDM

” Ce serait mal connaître les États-Unis que de penser que cet homme a peu de soutien parce qu’il en a énormément. Il ne faut pas sous-estimer le fanatisme de ses partisans ni des militants qui arrivent à rendre l’avortement illégal “, ajoute l’Américain. Aux Relevés-Unis, ses frères et sœurs qui vivent pour le Minnesota, la Floride et l’Utah, sont copieusement davantage divisés sur le question.

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Seul adhésion : l’IVG

” Nos différences d’opinion sont parfois très difficiles à comprendre. J’ai beaucoup parlé avec ma soeur aînée qui a trois filles, moi j’en ai deux. Je lui rappelais qu’un jour, Trump, par ailleurs accusé de harcèlement sexuel, avait dit à une journaliste qu’il pouvait attraper les femmes par la chatte. J’ai demandé à ma sœur comment elle pouvait voter pour un personnage qui a de telles valeurs. Elle me répond toujours la même chose, que ce qui l’importe ce sont les valeurs économiques et celles de la patrie “, raconte l’proscrit. Pour lui, pas de pressentiment, Trump n’est fifrelin d’changé que ” le grand remplacement à la sauce américaine “.

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Dans le Quercy, Jean-François n’est pas non davantage rasséréné. Ce retraité d’prélude nord-américaine a davantage une passage de sa sang aux Relevés-Unis, singulièrement sa tantine. ” Ce qui m’angoisse le plus c’est sur le plan international. Je pense à la situation au Moyen-Orient et je redoute une escalade si Trump est élu “, explique-t-il. Ces derniers étape, la Présidentielle nord-américaine est devenue un question à sauter sautoir les mets de sang. Parce que, avec pour la fratrie de Bill Burroughs, comme Jean-François, hominidé n’est d’assentiment. ” Certains vont voter Trump, mais sans conviction. Ils tiennent à voter pour les Républicains, même s’ils n’apprécient pas l’homme. Les autres vont voter Kamala Harris mais sans y croire non plus. Ils considèrent que son bilan en tant que procureur de Californie avant qu’elle ne devienne vice-président démocrate des Etats-Unis, est très mauvais “, germe le Lotois.

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Seul un repère lien ses proches : l’IVG. ” C’est l’un des rares sujets qui fait consensus. Dans ma famille, tout le monde s’accorde à dire qu’il faut préserver ce droit “. Comme en France à l’accédé des élections présidentielles, l’arrivée monopolise le symposium. ” C’est la même problématique que nous avons pu connaître ici lors de la dernière campagne des législatives “, traîneau le retraité. Comme un air de paramnésie.

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