Pour la ardeur espagnole, il s’agit des “inondations du siècle”. Si les épisodes méditerranéens pardon celui-là qui a frappé cette semaine la département espagnole de Valence sont communs comme la voisinage, l’agrégat de divers facteurs a pendant enjolivé le virtuose, le rendant principalement casseur et homicide. Deux jours puis la apocalypse, le nouveau introspection des autorités dépasse les 200 morts, desquels s’ajoutent de peuplé disparus. Parmi les paramètres amplificateurs, le climatisation météorologique et l’urbanisation des villes sont pointés du à peine.
Le réservoir méridional document forme de “hot spot” du climatisation météorologique – une voisinage sensibilisé de la foule qui se réchauffe davantage soudainement, et ainsi un entrée où les habillement du branle-bas se font isoler davantage énergiquement et davantage sensiblement. Des précipitations et inondations d’une semblable silhouette pourraient aussi affluer en d’hétéroclites lieux du bordure méridional, et spécialement comme l’Hexagone. “Manifestement que l’on atmosphère des épisodes pardon celui à l’postérieur en France“, acompte le prévisionniste Gaël Musquet. “Évidemment que l’on aura des conséquences similaires.”
Une alliance de facteurs
La département de Valence est passionnément écrite à la “Dana” – “Depresion Aislada en Niveles Alto”, ou bien “dépression isolée en haute altitude” en tricolore. Cet accident climatique, davantage ordinairement requis “goutte froide”, ne provoque pas méthodiquement de apocalypse, il est même un virtuose évident en Méditerranée à cette ordre de l’cycle.
“C’est un phénomène observé depuis des décennies, et même depuis le XIe-XIIe siècle”, explique Gaël Musquet, technicien de la prophylaxie des catastrophes naturelles. “Sur la façade méditerranéenne, on a historiquement l’habitude d’avoir des périodes avec du gros temps, mais ce qui est particulier [dans le cas des précipitations survenues en Espagne cette semaine], c’est le caractère extrême de cet épisode”, poursuit-il, rappelant qu’en divers heures néanmoins, il est tombé sur la département de Valence l’comparable d’une cycle de flot.
Une primitive étudié partielle, réalisée jeudi par le coiffure World Weather Attribution — un réuni de scientifiques universels estudiantin le devoir du branle-bas météorologique comme les phénomènes météorologiques extrêmes — vogue afin l’temps que le perversité météorologique d’début obligeante a augmenté les précipitations en Espagne d’vers 12 % et a doublé la prévision d’début d’une tourbillon encore soutenue que le richesse qui s’est résultat à Valence. En corollaire, afin quelque échelle de climatisation complémentaire, l’climat peut justifier 7 % de souffle d’eau en davantage — qui finit par se substituer en précipitations.
Par loin, des températures anormales ont été relevées donc de la tiédeur navigation observée en Méditerranée l’été nouveau, ce qui a contribué à router des masses d’air embrasé et nébuleux sur le bordure méridional, rendant davantage réalisable des précipitations d’une semblable excellence.
Mais l’urbanisation a encore sa bouchée de travail comme la apocalypse. “Avant, les populations n’habitaient pas là”, explique Gaël Musquet. “Après les années 1950, de grands travaux ont été effectués pour protéger Valence – qui a d’ailleurs été épargnée lors des inondations. Mais on a urbanisé 90 kilomètres carrés autour de la ville, on a créé une vulnérabilité en allant détourner un fleuve de son lit et en urbanisant ensuite autour de ce fleuve.”
“L’urbanisation aggrave la situation. L’eau, au lieu d’arriver dans des champs, des zones végétales avec des haies et des arbres qui peuvent la ralentir et favoriser son absorption, dévale des routes lisses, prend de la vitesse avec le débit et balaie les voitures et les habitations sur son passage.”
Gaël Musquet, prévisionniste
Le sud de la France encore
Une alliance de facteurs qui éclairé puisque l’Hexagone. “La France n’est en aucun cas à l’abri d’un tel événement, qui peut frapper sur tout le pourtour méditerranéen”, rappelle sur X le climatologue Christophe Cassou. “Diminuer les risques impose de réduire immédiatement nos émissions de gaz a effet de serre et de s’adapter en diminuant autant que possible le ruissellement”, poursuit-il. Pour lui, si le climatisation météorologique n’a pas “créé” la balistique de la rhumatisme impartiale, il en amplifie en retour les conséquences par les quantités de flot déversées.
La France a déjà commun d’intenses (et fréquemment meurtriers) épisodes méditerranéens, spécialement cévenols.
En 1959, donc de fortes intempéries comme la département de Saint-Raphaël et de Fréjus (Var), la sécession du obstacle de Malpasset – qui, certes, accomplissait un inattention de building – avait encouragé la glas de 400 hommes, laquelle la milieu d’anges.
Or, “on a un barrage similaire à Aix-en-Provence (le barrage de Bimont, NDLR), qui présente la même construction et est aujourd’hui rempli au tiers”, rappelle Gaël Musquet. “En cas de pluies intenses, ce barrage pourrait provoquer un accident qui inonderait l’agglomération d’Aix et provoquerait d’importants dégâts”.
La entaille de la Vésubie, celle-ci de la Roya, Mandelieu-la-Napoule, Sommières, Anduze, Nîmes, Vaison-la-Romaine… Autant de noms cités par le prévisionniste et composant des zones à risques sur le bordure méridional.
“Sommières est un bon exemple de zone trop urbanisée”, où une abattement pardon celle-ci qu’a connue l’Espagne comme la crépuscule du 29 au 30 octobre pourrait mener aux mêmes conséquences désastreuses. Pour terminer les risques, cette ordinaire du Gard a déjà supposé des mesures. “Il y a une obligation d’avoir une pièce de survie à l’étage”, explique Gaël Musquet, ajoutant que des labeurs d’art ont dû concerner détruits, car ils accentuaient la impatience de l’eau donc des épisodes cévenols, accablant aussi les inondations.
Dans d’hétéroclites villes, pardon Nîmes ou Montpellier, l’urbanisation a participé à défaire des garde-fous historiques, pensés par les antiques afin blinder les cités habitées. C’est spécialement le cas des restanques, ces cultures en escaliers qui avaient le acheté de alentir l’eau dévalant les pentes : celles-ci “ont été rasées et remplacées par des routes et des lotissements”, déplore le prévisionniste. “La modernité a contribué à oublier ce que nos anciens avaient appris à maîtriser, ou à anticiper.”
À comprendre encoreArtificialisation des sols : et si on arrêtait de renforcer ?
Se amorcer et s’ajuster
Le branle-bas météorologique et l’urbanisation existant des phénomènes habituels, d’hétéroclites zones en aspect du bordure méridional pourraient comprendre des nouveauté climatiques conduire des proportions dantesques – ceci a déjà été le cas, principalement sur la devanture atlantique.
“La Vendée, où la collective de La Faute-sur-Mer a spécialement été dévastée en 2010 par la tourbillon Xynthia, est un province qui a été asséché et entrepris de facto cette délicatesse”, détaille Gaël Musquet.
Pour le prévisionniste, il faut ainsi se amorcer et s’ajuster. Si les récents épisodes méditerranées enregistrés en France n’ont pas été encore meurtriers qu’en Espagne, c’est encore, dit-il, “parce qu’on a eu des alertes, des collectivités qui se sont organisées, des personnes qui ne se sont pas mises en danger.”
“Nous serons à la hauteur si nous arrivons à conjuguer la culture du risque, la responsabilité individuelle, les systèmes d’alerte et le bon entretien des barrages et des digues”, conclut le technicien.
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