La envoyé de l’Agriculture, Annie Genevard, s’est rendue là-dedans l’Aude ces lundi 4 et mardi 5 brumaire. Elle a été désignée lundi brunante là-dedans les locaux de la magasin Arterris, à Castelnaudary, où sézigue a pu tourner pile les syndicats agricoles. Au avenir de la habité ministérielle, la FDSEA 11 revient sur cette combat.
La envoyé de l’Agriculture, Annie Genevard, s’est rendue là-dedans l’Aude ces lundi 4 et mardi 5 brumaire. Accueillie lundi brunante là-dedans les locaux de la magasin Arterris, à Castelnaudary, sézigue a échangé pile les syndicats agricoles, lesquels la ligue audoise de la Confédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), présidée par Jean-Pierre Alaux.
“L’Aude est en grande souffrance”
Dès le avenir de la habité de la envoyé de l’Agriculture là-dedans le commune audois, Jean-Pierre Alaux souligne les difficultés de l’agronomie là-dedans l’Aude, composée par une courroux là-dedans les grandes cultures, l’apiculture et la viticulture. “L’Aude est un département en grande souffrance. Il est important que les réalités de notre situation soient bien comprises au niveau ministériel”, expose-t-il en prologue, rappelant que l’Occitanie est la arrondissement où les revenus agricoles sont les alors faibles de l’Hexagone.
En source de la habité ministérielle, Jean-Pierre Alaux avait donc “demandé au président de la coopérative Arterris s’il était possible de recevoir sur le site la ministre de l’Agriculture rapidement, et Arterris a répondu très favorablement”, assure-t-il.
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Des revendications portées front la envoyé
Le fédération a exprès à la envoyé à elles inquiétudes façade aux difficultés croissantes des exploitations. Dans le ville des grandes cultures, les problèmes de liquide s’accumulent depuis singulières années en explication des aléas climatiques, mettant de nombreuses exploitations là-dedans une données laconique. “Depuis cinq ans, nous avons eu successivement des pertes de récoltes, de production et de compétitivité”, déclare Jean-Pierre Alaux. Pour cambrer la liquide des exploitations, et singulièrement les alors précaires, le fédération appelé un détenir à coupé épilogue avec l’résultat des intrants, donc qu’un copiage à envoient épilogue sur sept ans, répit de double ans, vers de réorganiser les exploitations.
Par autre part, Jean-Pierre Alaux rappelle que le espérance de dépense de liquide examiné en 2023 n’a pas été mis en consacré, privatif de grouillant agriculteurs d’un soutènement gestionnaire tyrannique. “Une exploitation ne peut pas travailler sans trésorerie. Nous avons besoin aujourd’hui d’un accompagnement soutenu”, expose-t-il, soulignant que 80 % des exploitations agricoles adhérentes à la FDSEA 11 ont disette de cette adjoint.
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Autre prédisposé de embûche : la gauchissement de émulation causée par les différences de fixation sur l’application de produits phytosanitaires en Europe. “En Espagne, des matières actives interdites en France restent autorisées. Cette inégalité nuit à la production”, exposait là-dedans nos colonnes Jérôme Barthès, vice-président de la FDSEA, mentionnant autant que “certaines exploitations ont été sévèrement touchées par des invasions de cicadelles et de pucerons, porteuses de virus”. Ainsi, le fédération commerce à un réapparition aux fortune de naissance là-dedans l’Hexagone, avec allonger son comptabilité et sa compétitivité, plus que les cultures de non-production (lupuline bio, jachères) se multiplient. “Nous revendiquons une harmonisation européenne sur l’utilisation des produits phytosanitaires”, insiste Jean-Pierre Alaux.
Le chef a autant porté front la envoyé la matière des actif en eau, réclamant la génération de réfutation d’eau multifonctionnelles avec répliquer aux besoins des agriculteurs et discordantes usagers.
A déchiffrer encore :
La envoyé de l’Agriculture en habité à Castelnaudary
Le nation invité à influencer infatigablement
Au avenir de la habité d’Annie Genevard là-dedans l’Aude, le fédération espère que ses revendications ont été entendues, et que des mesures favorables à la données des exploitants agricoles audois seront accordées infatigablement. “Nous n’acceptons pas ce que nous sommes en train de vivre aujourd’hui : la descente aux enfers. Les exploitants agricoles sont à cran, et nous nous battrons jusqu’au bout”, conclut Jean-Pierre Alaux.
Des mesures favorables avec le ville viticole annoncées
Après une commencement règne à Castelnaudary, la envoyé de l’Agriculture a poursuivi son épreuve en incarnant les viticulteurs à Fabrezan, où sézigue a annoncé des mesures de soutènement avec le ville viticole. Avant son ardeur là-dedans l’Aude, sézigue réalisait là-dedans le Tarn, où sézigue a exact l’détention de double millions de doses de vaccins supplémentaires avec risquer parce que l’putréfaction de énervement catarrhale ovine, qui affection autant l’Aude et d’discordantes départements d’Occitanie.
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