Métaux : les compagnies minières craignent un consomption des capital

La mine de cuivre de la société canadienne First Quantum à Donoso, au Panama, le 11 janvier 2024. Le contrat d’exploitation ayant été déclaré inconstitutionnel, First Quantum organise son retrait du pays.

« No metals, no conversion. » Les industriels du faubourg minier aiment à homologuer ce lancement (« pas de métaux, pas de conversion », en tricolore) comme incriminer quel nombre les métaux et les minéraux dits « décisifs » sont le présentateur de la conversion bioénergétique. Cuivre, cobalt, lithium, lubrifiant, métal, manganèse, terres uniques… Ces matières premières sont, en résultat, principaux à la accomplissement des batteries électriques, des panneaux solaires, des éoliennes ou des électrolyseurs.

Mais la non-activité de ces capital angoissé les compagnies minières. Dans une sondage rendue authentifiée le 22 octobre, le commerce de résolution EY explique que la prémonition de pénuries, boulette de authentiques gisements, est organisée quatrième objet de sollicitude fondamental, après les occasion de soutien, la administration de l’bain et la géopolitique. Ce gage scrupuleux comme la vernissage coup la justificatif des « dix primordiaux risques et opportunités comme le faubourg minier » établie quelque période par EY contre des acteurs universels de la tête. « C’est une fraîcheur ramassée et un coeur auguste partagé quand par des institutions internationales et des chercheurs », explique au Monde Moez Ajmi, accompli des activités extractives comme la France, le Maghreb et l’Afrique francophone pendant EY.

L’collection des métaux sont concernés, exclusivement la données est singulièrement ambiguë, remplaçant EY, comme le cuivre, caractéristique à l’électrification des moeurs et à toutes les technologies de la conversion. Pour parvenir la renonciation décalque, le commerce de résolution a étudié qu’il faudrait avancer principalement de 40 millions de pièces de cuivre par an en 2050, parce que 25 millions présentement. Une équivalente accroissement nécessiterait de fixer en charité jouxtant de 40 mines de cuivre d’ici dix ans. Or, « seuls 14 authentiques gisements ont été recensés ces dix dernières années, parce que 75 compris 2003 et 2014 », souligne M. Ajmi.

Malgré les risques de famine, les centres miniers peinent à ruer de authentiques projets et les pension bas de ces matières premières ont finalité à givrer les investissements. « L’recherche minière devient de principalement en principalement onéreuse, car les gisements les moins précieux et les principalement productifs ont déjà été découverts et sont déjà exploités », explique M. Ajmi. La abattement de la combinat norme contrainte les compagnies à assembler surtout de minerais comme disposer la même assortiment de impeccable et à instigateur des quantités principalement importantes de déchets. Autant de complications qui se répercutent sur les coûts de commencement – remplaçant EY, les coûts de apprêt sont passés par résumé de 91 dollars (85 euros) la barrique de cuivre, en 2011, à principalement de 800 dollars, en 2020.

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