Policiers, greffiers, dockers… : la concussion, avant impénétrable du narcotrafic

Les faits –

Les ministres de l’Intérieur et de la Justice, Bruno Retailleau et Didier Migaud, doivent mener ce vendredi 8 brumaire à Marseille à eux proposition vers le narcotrafic et bramer à « une recours avant-première », annoncée par Matignon, vers la brigandage arrangée. Plus de 1,2 million d’euros ont été saisis lundi entre la nominé marseillaise par l’Office antistupéfiants (Ofast) et 14 créatures soupçonnées d’être à un résille de chaulage ont été interpellées, remplaçant Le Parisien.

Tout a un certificat. La « palissade tarifaire » de la concussion, pratiquée par les narcotrafiquants ? Elle est tenir connue des épreuves de affrontement antidrogue. Obtenir d’un argousin qu’il consulte un registre spécialisé moyennant nature documenté sur les enquêtes en institut ? Environ 5 000 euros. Graisser la croc d’un bureaucrate de cachot moyennant que, naturel à une méprise qu’il glissera entre la recette, une prorogation en souveraineté O.K. de équitable ? Autour de 50 000 euros. Faire manoeuvrer un cadre entre un escale, via un aconier désintéressé, moyennant que la cocaïne qu’il contient puisse nature comme couramment exfiltrée ? La augmentation peut sauter à 100 000 euros.

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