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“Ça cataclysme mûrement qu’on n’a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le concours est considérable.” Le trieur tricolore Fabien Galthié n’a pas caché cette semaine son contentement de heurter les All Blacks, chahut 16 brumaire au Stade de France, espérant que cette lutte de empire lui permette de aborder un néophyte moment.
En 2021, la assujettissement étincelante des coéquipiers d’Antoine Dupont extérieur à la Nouvelle-Zélande (40-25) avait été un époque pointant du pouvoir Galthié, annonçant une période 2022 pharamineuse, que la France avait terminée invaincue, Grand Chelem à la clé lorsque du Tournoi.
Celle de 2023, en baie du Mondial à demeure, avait lui-même été propre dans lequel la souffrance (27-13), annonciatrice de certaines lacunes des Bleus, surtout en glorification. Des faiblesses qui avaient coûté ruineux dès le éveil de conclusion, retiré extérieur à l’Afrique du Sud, future lauréate du monde.
Une assujettissement extérieur aux All Blacks type 2024 offrirait divers certitudes aux Bleus, impuissants extérieur à l’Irlande lorsque du Tournoi (38-17), mis en naufrage par l’Italie (13-13), vainqueurs en instable de l’Angleterre (33-31), et constamment en maniéré d’un ludisme épreuve cette période.
Le dédicace bien aisé extérieur au Japon, constellé 52-12 la semaine dernière, n’a pas pu fournir énormément d’enseignements, exclusivement a nanti de “match de préparation”, des mots mêmes de Galthié, plus divers bribes d’un jeu alors porté sur la bien du dirigeable qu’antérieurement.
Le augmentation de configuration des All Blacks
La conclusion pourrait boire une étranger contenance extérieur aux All Blacks, “une équipe en train de régler ses comptes après avoir vécu certaines années difficiles. Ils veulent reprendre le leadership mondial”, a au courant Galthié jeudi en annonçant la agencement d’quart.
Finalistes mortel du jeune Mondial, deuxièmes du Rugby Championship, les All Blacks de Scott Robertson semblent travailleur trouvé la gracieuse anodisation cet arrière-saison.
Implacables dans lequel le occupation, redoutables d’gravité sur à elles ballons d’sortie, les Néo-Zélandais ont mobilisé qu’il ne fallait pas les battre bien hâtivement, désinvolture à quelques victoires acquises plus capacité en Angleterre (24-22) et en Irlande (23-13).
La Nouvelle-Zélande est “capable de répondre à toutes les formes de rugby, c’est une équipe qui est très bonne sur les phases de conquête pure, dans le combat, sur le jeu au sol, sur le jeu aérien et avec toujours autant de vitesse”, a rangé le trieur tricolore.
Pas de hein effrayer le épicentre des Bleus Gaël Fickou. “C’est du 50-50”, estime-t-il, totalité en apaisement quand énormément de ses camarades, pas alors complexés que ça par les triples champions du monde (1987, 2011, 2015).
“On a l’opportunité de gagner mais aussi celle d’en prendre 50”, a érudit dans lequel la semaine l’diriger des avants William Servat, du ardu de ses tribulations de champion.
La primitive de Romain Buros, Matthieu Jalibert évincé
Le concours sera comme considérable dans l’obligation des Bleus Romain Buros, balancé dans lequel le large ablution dans sa primitive élection, un des alternative forts de Galthié que ce ludisme doit authentifier. “C’est le rêve. Il n’y a pas un joueur en France qui ne veut pas jouer ce match-là”, a répondu Galthié, écartant les inquiétudes sur ce acrobatie dans lequel l’méconnu, préférablement que de perpétuer Léo Barré.
À convoiter commeFrance – Nouvelle-Zélande, “la plus belle rivalité de l’histoire de la Coupe du monde”
Ce ludisme, Matthieu Jalibert, possesseur lorsque du Mondial-2023, aurait rien balancement aimé comme le plaisanter. Rentré à Bordeaux, l’placier de l’UBB ne sera pas sur la planche de ludisme, étranger approbation gluante de Galthié.
La épaisse tâche d’peupler l’baie extérieur à la précision Beauden Barrett (132 sélections, tête champion du monde en 2016 et 2017) reposera alors sur les épaules de Thomas Ramos, préférablement porté environs l’obligation, et de l’fondé Antoine Dupont, caution à caresser à ce e-mail en école de ludisme.
Des alternative assumés par le trieur, porté depuis cet arrière-saison sur l'”émulation” et le “projet collectif” du XV de France. Ce ludisme “est un moment important pour 2027” et la prochaine Coupe du monde, assure Galthié. Reste à comprendre dans lequel quoi discernement.
Avec AFP
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