Une boycott de Gilets jaunes se sont réunis, chahut 16 brumaire, au carrefour de Sesquières à Toulouse à cause consacrer les 6 ans de à eux développement courtois. À 14 heures, ils prévoyaient de naître en se rassemblant sur les Allées Jean Jaurès.
Le solidarité des Gilets jaunes à Toulouse ? En continuum cas, « On est là, on est là… », ont-ils parti, chahut 16 brumaire, au divin entourage du carrefour de Sesquières, au 308 arrivée des Détails-Unis, à Toulouse, où une chère avait été dépliée à cause soutenir des boissons chaudes. Pour attiser le esprit, le avertisseur des automobilistes en auspice d’alignement.
Une boycott de foule, semble-t-il du gouttière diachronique à cause nombreux, ont répondu cadeau au entrevue lancé sur les réseaux sociaux par les Gilets jaunes Toulouse. Ils fêtent les six ans d’un développement courtois d’taille qui s’réalisait exécutant par des manifestations bulletins à cause les rues de la Ville brillant, émaillées de heurts pile les forces de l’acte et exubérant de maints dégâts. Le mot d’acte logement “contre la précarité, la vie chère, la chute du service public, l’État, l’argent qui ne va qu’aux riches”, entend-on.
“On vient tous les samedis à Toulouse”
Michel, Gilet jaunet de la ancienne plombe, le 17 brumaire 2018, n’a pas hésité à débarquer heurter ceux-ci qui partagent son croyance. “On vient encore tous les samedis à Toulouse, rappelle-t-il. On se réunit à Jean-Jaurès, vers 14 heures. On sera la semaine prochaine au rond-point Charles-Fabre au Mirail. Les revendications sont toujours pratiquement les mêmes. Tout a augmenté. Le carburant, l’électricité, le gaz, la nourriture. Je touche la retraite, je suis passé de 951 euros par mois à 1 012 euros, où je vais aller avec ça ?”.
“Notre gouvernement est pour les riches”
Claude, entrepreneur de apprentissage et qui se dit « préféré » chez les retraités, se sent abandonné. “On a un gouvernement qui est pour les riches. Toutes les lois qui passent sont faites pour les riches, on n’a pas du tout de poids par rapport à eux. Et les 49.3, ce n’est plus de la démocratie c’est de la dictature. On vire comme la Russie, le Chine, les États-Unis. Les riches deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres.”
“Je suis toujours révoltée”
Christine, sézig, n’a pas entrevu le développement des Gilets jaunes à cause communiquer ses désaccords. “Cela fait quarante ans que je travaille et que je suis dans la rue, raconte-t-elle. Je suis mécontente parce que le système ne va plus depuis très très longtemps. Ensuite, je suis allée voir les Gilets jaunes avant d’arrêter pour raison de santé. Je suis révoltée, notamment à cause de la Sécurité sociale qui je vois partir en mille morceaux…”
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