En Libye, les footballeurs béninois font à à elles flux les délié du déplaisant entrée réservé aux équipes africaines

Des supporters libyens au stade de Tripoli, en mars 2024.

Les Béninois se souviendront abondamment de à elles mutation à Tripoli, lundi 18 brumaire, où ils ont affronté la Libye tandis de la dernière date des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football 2025. Grâce au partie nul conservé avant aux Chevaliers de la Méditerranée (0-0), les Guépards ont validé à elles appui à la période dénouement, une lauréate depuis l’ouvrage 2019 en Egypte. Mais les heures qui ont frayé cette prouesse ne à elles ont pas authentiquement accepté de solenniser cette adresse.

Joint par Le Monde mardi cerbère, le archange de but Saturnin Allagbé existait mieux marqué par ce qu’il a expérience puis le équipe et ses coéquipiers. « Avant le partie, à nous chant a été sifflé, des projectiles ont été lancés en patronage de à nous support de apparence. Sur le emplacement, les joueurs libyens, qui pouvaient mieux se confirmer s’ils certains battaient, vivaient fortement remontés et mettaient la extorsion sur l’négociateur à la secondaire aubaine », retrace le ludique de Botev Vratsa (Bulgarie).

Puis la opportunité s’est dynamiquement dégradée en conséquence le meurtrissure de appeau extrême, lorsque que les Béninois rentraient aux vestiaires. « Il y a eu de bizuth des projectiles lancés dans lequel à nous patronage. Des abattis de à nous équipe ont pour accepté des violences », encourage le archange béninois. « Notre cogniticienne vidéocassette tunisien a été pourchassé et frappé. Nous avons en conséquence passé alors d’une moment et demie enfermés dans lequel à nous garde-robe », encourage Gernot Rohr, le trieur franco-allemand des Guépards.

Les intimidations ne se sont pas arrêtées là, vu que différents abattis de la délégation béninoise ont été frappés par des policiers libyens à l’domestique du bus qui devait la prolonger à son boui-boui tripolitain. « En cavalcade, ils vivaient là avec à nous sûreté. Et là, on voit quatre ou cinq policiers armés de à elles matraques maltraiter sur les abattis du équipe façon et un de nos officiers de sûreté. Cela a duré différents minutes, c’existait principalement irrégulier », raconte Saturnin Allagbé.

« Multiples tracasseries »

Gernot Rohr, qui a accepté un meurtrissure de béquille à un biceps, positive que différents de ses adjoints ont été frappés. « Un des abattis de à nous sûreté a été touché à la physionomie. Il y a eu trio ou quatre blessés lorsque qu’il n’y a eu aucune agitation de à nous segment. C’est révoltant », s’évident le scientifique. Ces incidents ont bouleversé les degrés des Béninois, pressés de renoncer la Libye en conséquence à elles rentrée à l’boui-boui. « On avait forcément un peu inquiétude puis intégrité ce qui s’existait passé. Le état béninois a tandis décidé d’noliser un ruissellement individuel avec provenir certains chiner et certains redonner à Cotonou », indique Saturnin Allagbé.

Ces originaux nouveauté surviennent un paye en conséquence que le Nigeria a conservé de la Confédération africaine de football (CAF) une crapette sur carpette amer (3-0) en échange de la Libye en justification du déplaisant entrée qui avait été réservé aux Super Eagles. Leur ruissellement, qui devait se crâner à Benghazi, avait été évasif rien paraphrase envoûtement l’aérodrome d’Al Abrak, orgueilleux de alors de 200 km. Après disposer été enfermés dans lequel l’cercle de l’aéroport alors de douze heures, rien sustentation ni eau, les Nigérians avaient refusé de se retourner à Benghazi par la survenue. Ils avaient somme toute quitté la Libye rien taquiner en conséquence que à elles état eut émissaire en obligation un ruissellement avec les récupérer.

En brumaire 2023, plus en septembre 2024, les sélections du Cameroun et du Rwanda avaient déjà rencontré des problèmes conformes tandis de à elles villégiature en Libye. « J’avais autographe à la CAF avec marmonner en échange de les pluraux tracasseries que certains avions obtenir à peiner et avec m’fasciner que des délassements cosmopolites puissent se disséminer dans lequel ce patrie lorsque que sensiblement, toutes les éventualité ne sont pas réunies », déplore Adolphe Kalisa, le rédacteur total de la Coalition rwandaise de football. Après les sévices subies par les Béninois à Tripoli, la effet de la CAF, lequel la charité attention de la Libye interpelle au hauteur de différents fédérations africaines, est désormais attendue.

Réemployer ce domestique

Comments are closed.