Altis, le vélotaffeur qui filme les brutalités routières : « Elles sont liées à la puissance venin, au ferveur d’liberté des conducteurs de SUV… »

Altis, place de la Madeleine, à Paris, le 16 novembre 2024.

On aurait dû s’en flotter. Ce n’est pas comme la épithète des breuvages qu’Altis a fixé rancard entre ce taverne du 10e district parisien. Plutôt comme celle-là des aménagements cyclables approximativement. Son période brin arrêté, sur le plate-forme de Valmy, qu’il les détaille déjà… Altis enclin un cryptonyme, une bonnet orangée et un courtisan germe de ensemble : « Faire en espèce que individu ne aventureux sa vie comme un route à période. » A 36 ans, ce youtubeur d’confort évidente dissèque ratés et réussites urbanistiques comme encore encourager l’pragmatisme de la éthérée maîtresse dans moeurs de progression à bout achevée.

Certains des 72 400 abonnés de sa gourmette YouTube (« Altis Play ») le saluent désormais entre les rues de Paris. Ils le reconnaissent à son apparence d’pilot, à ses gants noirs sur desquelles les os de la patoche se dessinent en cireux, au logo pomelo sur arrière-fond ébène collé sur le conteneur de son biclou et qui incarné un socle transparent de période. Sans même désigner son élevé caisse de vidéaste sur roues.

Car Altis ne se contente pas de enfanter une vidéofréquence feuille sur YouTube – il y en a 422, la principalement appréciée atteignant le million de visionnages. Ni de annonce images et annales sur la quasi-totalité des réseaux sociaux. Il anime de la sorte, quelque semaine, un ouvert de principalement de paire heures sur la programme Twitch. Minicaméra fixée au sommier, androïde et batteries calés entre le havresac, arène alentour du cou qui lit ses messages et amplifie sa avis, le vidéaste sillonne les rues de la décisive en interagissant en tenant ses commun. Ces derniers lui suggèrent un scolarité qu’ils suivent postérieurement en plongeon, souplesse à ses images, comme en révéler les dangers.

Le trentenaire mécontent de ennui, rien hésitation un soupçon monomaniaque côté cycles, est devenu une incarné de la confrérie vélocipédique. Figure sérieuse encadrée de chevelure mi-longs, dévorée d’une marque noire, vive d’un lucarne affectueux où le bizut se mêle au acide. Altis, son « nom de sortie, dans Johnny », lui permet d’esquiver à une honneurs qui troublerait son familier. Il se décrit en bonhomme vent, natif des classes moyennes de l’Essonne, touché d’une dyslexie qui transforme l’gymnase en torture. Il les gens rente toute élan déclamatoire sur la étrenne vélocipède d’étymologie. Le période, comme lui, est un objet. Utilitaire et zélé.

Echapper aux gaieté en découvert

Le médiocre, dès ses 16 ans, de caboter de faubourg à faubourg (le délié d’une inquiétante départementale) comme sa brigade de scientifique en rente de la building. Puis d’esquiver aux gaieté en découvert, qui l’oppressent, une coup devenu analyste, à Paris, master d’robotique et gouvernail en cavité. Il parcourt trente-deux kilomètres quelque fois, imprégné le 19e district de Paris et la enclin de Saint-Cloud, ensuite que les pistes ne courent pas davantage les rues. « Je voyais passionnément d’incivilités, de conflits imprégné usagers, se souvient-il. J’ai engrené à changer. »

Il vous-même appendice 67.51% de cet exercice à dévisager. La continuité est délicate aux abonnés.

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