Football : ‘Un ruine indifférent”, “il y avait un liturgique”… Le dirigeant de l’OM Pablo Longoria explique garder raté le transaction d’Erling Haaland

Avant d’personnalité dirigeant de l’Olympique de Marseille, Pablo Longoria avait une contraire vie parmi le football, en prédicat de rabatteur. Notamment pente la Juventus, où il a été gérant en la organisation.

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Invité à invoquer les profils qu’il avait repérés auparavant intégrité le monde à l’royauté parmi le podcast du streamer Zack Nani, l’Espagnol est privilège sur le cas de la superstar norvégienne Erling Haaland, aujourd’hui à Manchester City.

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“Un échec personnel dont je me rappelle toujours”, formelle en préface le administrateur, qui se rappelle garder vu le buteur alors de l’Euro des moins de 17 ans en Croatie, en 2017. “Jamais je ne l’aurais remarqué mais il commençait à percer à Molde. La personne qui suivait les jeunes (à la Juventus, Ndlr), c’était Matteo Tognozzi et il est aujourd’hui directeur sportif à Grenade, il parlait toujours de Haaland, Haaland, Haaland… Il en parlait beaucoup et il avait 17 ans à Molde.”

Pablo Longoria s’est de ce fait par la portée heimatlos en personne à Molde, en Norvège, dans enregistrer icelui qui avait passé par s’attirer comme Salzbourg auparavant de accéder le Borussia Dortmund. Décidé, il a puis entamé le algorithme dans hasarder de persuader le frais et son auteur.

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“On le reçoit pour un dîner (à Turin), Federico Cherubini et moi, avec son père, il y avait un tabou qui était de parler de Roy Keane. C’était le tabou avec son père, il ne fallait surtout pas parler de Roy Keane parce qu’à l’époque, Erling Haaland était encore le fils d’Alf-Inge Haaland (ex-jouer de Premier League) et non l’inverse, sourit l’Espagnol. Arrive un moment dans le dîner où il demande quel va être son plan de carrière. À l’époque, il n’y avait pas encore de deuxième équipe à la Juventus, il n’y avait pas beaucoup à offrir. Mais c’est vrai que là-bas c’est quelque chose qu’on avait bien travaillé.”