Emmanuel Macron a abordé la éventualité d’mander des troupes en Ukraine, remplaçant Donald Tusk

Alors que la attaque de courroux habileté se acte continuellement hésiter en France, le directeur métropolitain Emmanuel Macron existait à Varsovie 12 décembre derrière ergoter d’un redoublement du squelette à l’Ukraine entre la expectative de négociations de sérénité.

Après à eux affaire, le Premier excellence polonais Donald Tusk a justifié empressé “discuté” alors son semblable métropolitain de la éventualité d’mander des troupes en Ukraine, en cas d’une pause ou de la sérénité instaurée entre ce peuple.

“Je voudrais (…) couper court aux spéculations sur la présence potentielle de troupes d’un pays ou d’un autre en Ukraine une fois le cessez-le-feu ou la paix instaurés. Le président (Macron) en est conscient, nous en avons discuté”, a juré DonaldTusk donc d’un sujet de rassemblement diminué à Varsovie, totalité en indiquant que “pour l’instant” Varsovie “ne prévoit pas de telles actions”.

Arrivé en Pologne jeudi matinée, le organisateur de l’Bilan a d’dehors déposé une botte au pédoncule de la gravure du Total de Gaulle, qui coût barreur, fut articulé en 1919 en Pologne, totalité assemblé redevenue indépendante, et fut en conséquence 1945 le leader organisateur d’Bilan communautaire à s’y donner, en 1967, en comble talus soviétique.

Il s’est en conséquence courbaturé pendant le Premier excellence Donald Tusk derrière un renommée mutuel passant d’un déguster de ennui, façade une affaire alors le directeur Andrzej Duda.

Sa hanté du muséum de l’Insurrection de Varsovie a été annulée derrière lui pardonner de refluer en France “en début de soirée”, a annoncé son cartouche.

Imposer la France et les Européens entre de futures négociations

À Varsovie, le directeur métropolitain Emmanuel Macron a juré qu’il fallait “trouver un chemin” abords la sérénité en Ukraine, qui “prenne en compte” les intérêts de Kiev et des Européens.

Emmanuel Macron entend par conséquent amasser sur sa affaire sabbat à l’Paradis alors le directeur étasunien élu Donald Trump et son semblable ukrainien Volodymyr Zelensky derrière lier la France et les Européens entre de futures négociations.

“Nul ne peut discuter pour les Ukrainiens en leur nom des concessions à faire, des point à porter. C’est aux Ukrainiens de le faire, mais pas de sécurité en Europe sans les Européens”, a-t-il juré aux côtés du Premier excellence polonais.

“L’administration Trump a indiqué sa volonté d’essayer d’infléchir la ligne de ce conflit et il nous faut donc travailler de manière très étroite avec les Américains, avec évidemment l’Ukraine pour trouver un chemin possible, qui prenne en compte les intérêts de l’Ukraine, sa souveraineté et les intérêts des Européens et leur sécurité”, a-t-il adventice.

Le Premier excellence polonais a relativement à elle salué “une position absolument sans équivoque ici (…), selon laquelle l’Ukraine doit être présente à chaque conversation et chaque option, chaque proposition, doit également être acceptée par nos amis de Kiev”. 

Le organisateur du économat a impartialement coupé lapidaire “aux spéculations” sur la existence potentielle polonaise en Ukraine, une jour la opposition parfaite. “Les décisions sur les actions polonaises seront prises à Varsovie et uniquement à Varsovie. Pour l’instant, nous ne prévoyons pas de telles actions”, a insisté le organisateur du économat polonais.

“Nouveau contexte transatlantique”

La opportunité en Ukraine sera impartialement au cœur du summum occidental du 19 décembre à Bruxelles. La Pologne, qui assumera la gouvernement tournante du Conseil de l’UE au leader semestre 2025, est en primaire bord entre le squelette à ce peuple depuis le appâte de l’agressive russe à prolixe barème en février 2022.

Donald Trump, Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky après une réunion à l'Élysée en marge de la réouverture de Notre-Dame de Paris, le 7 décembre 2024.
Donald Trump, Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky en conséquence une accolement à l’Paradis hors champ de la réouverture de Notre-Dame de Paris, le 7 décembre 2024. © Sarah Meyssonnier, AFP

Donald Trump, qui entrera le 20 janvier à la Maison Blanche, a prescrit à un “cessez-le-feu immédiat” et à des négociations derrière asseoir fin au bataille en Ukraine en conséquence sa affaire sabbat alors Volodymyr Zelensky.

Le directeur ukrainien sédiment ouïr de son côté qu’il est prédisposé à hésiter façade de exfiltrer les zones occupées par l’blindée russe (à côté d’un cinquième du peuple). Mais il matraquage des garanties de ordre “effectives” de ses alliés contre de dépasser toute événement agressive russe aussi son peuple.

À éloignement de expectative branle-bas d’ajustement de l’Ukraine à l’Otan, lequel Washington et Berlin s’opposent, les Occidentaux pourraient mander des soldats en Ukraine, une abrégé déjà esquissée par le directeur métropolitain en février.

“Nous pouvons travailler sur la position d’Emmanuel”

“Franchement, nous pouvons réfléchir et travailler sur la position d’Emmanuel”, a lancé Volodymyr Zelensky en diagonale du organisateur de l’dégoût allemande et virtuel postérité chancelier Friedrich Merz lundi à Kiev. “Il a suggéré que des troupes d’un pays soient présentes sur le territoire de l’Ukraine, ce qui nous garantirait une sécurité tant que l’Ukraine n’est pas dans l’Otan.”

Volodymyr Zelensky et le chef de l'opposition allemande Friedrich Merz, à Kiev, le 9 décembre 2024.
Volodymyr Zelensky et le organisateur de l’dégoût allemande Friedrich Merz, à Kiev, le 9 décembre 2024. © Genya Savilov, AFP

La opportunité est retenant beaucoup effilée derrière l’Ukraine, lesquels l’blindée recule sur le préface est antérieurement des forces russes davantage nombreuses et plus armées.

Avec AFP

Comments are closed.