Le chef du Tour de France explique hein il s’est garanti, en tenant l’riche de Bernard Hinault, que les éleveurs ariégeois qui protestaient aussi le correspondance de l’générique comme les Pyrénées, ne bloquent le bon continuité d’une halte.
Un Ricard, et ça repart. Hier, Eurosport a demandé au chef du Tour de France de exposer différents anecdotes liées à sa assaut. Et Christian Prudhomme de se évoquer une décor en Ariège, tandis de la Grande Boucle 2007, en tenant Bernard Hinault même vedette fondamental.
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À cette ancienneté, les éleveurs ariégeois protestaient aussi le correspondance de l’générique comme les Pyrénées. Et l’établissement craignait à l’ancienneté que eux-mêmes puissent détruire le continuité d’une halte.
“Et là, j’ai vu la force du champion”
À tel sujet que le gestionnaire du Tour est allé, escorté du quintuple conquérant de l’compétition, bataille les agriculteurs la gardiennage au brunante afin soulager la opportunité. “Et là, j’ai vu la force du champion, relate Christian Prudhomme. Quelqu’un a dit à un moment à Bernard : ‘Mais je vous admire monsieur Hinault’. Et Bernard a rétorqué : ‘si tu m’admires, tu ne bloques pas (la route (Ndlr)’.”
Ou hein désamorcer la opportunité en tenant talent. “Ça s’est fini, puisqu’il a fallu fêter ça, ils nous ont dit : ‘On a du Ricard, mais on n’a pas d’eau”. Bernard à elles a dit : ‘c’est pas buriné, et ça s’est complet au Ricard pur’.”
A dévisager itou :
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Et Christian Prudhomme d’adjoindre : “Le lendemain, non seulement la route n’a pas été bloquée, mais il y a eu une magnifique ola”.
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