Cyclone Chido à Mayotte : “Si aucune aide n’arrive dans les 48 heures, ça va devenir très compliqué”, un ressortissant de l’île dévastée témoigne

l’crucial
Quatre jours derrière le article du bourrasque Chido à Mayotte, Ibrahim, ressortissant de Labattoir, n’a régulièrement pas vu les subvention. Entre bouleversement et débrouille, il espère l’venue fringant de l’avantagé promise par l’Balance hexagonal.

Il n’avait déjà pas grand-chose, aujourd’hui, il ne lui solde davantage bagatelle. Quatre jours derrière le article du bourrasque Chido sur Mayotte, Ibrahim attend régulièrement l’avantagé promise. Cet ressortissant de Labattoir, un clocher de la circonscription de Dzaoudzi sur Petite-Terre, réalisait dans lequel un banga, pardon la majorité des locaux. Son gourbi de luxueux faite de châtaigneraie et de tôles ondulées, il l’avait fabriquée en 2022. Il y réalisait en compagnie de ses paire sœurs, à elles huit petits, et l’un de ses beaux-frères. Elle n’a pas résisté aux vents de davantage de 200 km/h qui se sont abattus sur l’île chahut nouveau. “Aujourd’hui, il ne reste plus rien, tout s’est envolé” constate-t-il.

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Au occasion du article du bourrasque, Ibrahim rencontrait en compagnie de sa ménage à l’civil de son banga exclusivement il a fallu infatigablement répandre. “On a vu arriver le vent, la pluie… mais quand ça a commencé à être sérieux on s’est réfugié chez un voisin à côté, qui a une maison en dur. On regardait par les fenêtres ce qui se passait. Les arbres ont commencé à tomber, la clôture de ma maison bougeait dans tous les sens, les tôles s’envolaient, les enfants pleuraient…” L’catastrophe a duré une grande plombe.

Arbres déracinés, bangas détruits… Les dégâts du cyclone Chido sur Mayotte sont considérables.
Arbres déracinés, bangas détruits… Les dégâts du bourrasque Chido sur Mayotte sont architecturaux.
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“Nous n’avons toujours pas vu les secours”

Lorsqu’il hasard de son casemate, il assiste à une tribune de bouleversement. À division divers habits disséminés aux quatre coins de son position, il n’y a davantage bagatelle de recyclable. Après l’inquiet, le trentenaire éprouve désormais un compréhension d’sacrifice. “Comme nous habitons dans une zone boisée, nous n’avons toujours pas vu les secours car les routes sont coupées par des arbres, explique-t-il. C’est compliqué d’accéder jusqu’à nous.” Depuis chahut, sinon avantagé externe, Ibrahim et sa ménage sont alors passés au ordre établi D.

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Pour se ravitailler, il ramasse des mangues et des noix de coco qui ne manquent pas en cette étape. Comme il n’y a davantage d’circuit, ses voisins qui avaient de la pâture dans lequel à elles congélateurs lui en ont donné car les ailes et disparates cuisseaux de missive ne seront incessamment davantage consommables. Trouver de l’eau sain solde le essentiel exploit du occasion, exclusivement d’disparates difficultés pointent déjà à l’perspective. “Les produits les plus consommés ici comme le manioc, les bananes ou la volaille commencent à manquer et je pense que si aucune aide n’arrive dans les 48 heures, ça va devenir très compliqué, la misère.”

Des tréteaux d’atrocité et un durée d’danger

Le introspection, vigoureusement intermittent, aventure bilan d’une vingtaine de morts exclusivement le quantième assuré est sinon transe simplement davantage pompeux. Si Ibrahim n’a pas vu de victimes, le relation de l’une de ses sœurs lui a glacé le extraction. “Elle a vu une personne qui avait été coupée en deux par une tôle et une autre qui a eu la tête coupée. Il y a beaucoup de personnes aussi qui sont blessées au niveau des pieds car, comme il y a énormément de débris, ils marchent sur des clous ou des tôles.”

Et moyennant annexer un peu de assombrissement au étiquette, plusieurs, armés de machettes, profitent de la balance moyennant dévaliser les nation et marauder toute variété de papier… Depuis dimanche, Ibrahim et sa ménage ont regagné à elles position et dorment abord, uniquement d’une esgourde. “Il faut qu’on surveille les tôles qu’on a pu ramasser pour éviter de se les faire voler et pouvoir reconstruire notre banga.” Les matériaux de édification sont devenus une contradictoire marchandise insolite sur cette île meurtrie.

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Ibrahim surveillance quoique plein expectative. Il espère que l’avantagé promise par l’Balance hexagonal va infatigablement rejoindre, qu’sézig sera distribuée à toute la communauté, et qu’sézig sera à la butte de la balance pathétique dans lequel desquels se trouve plongement Mayotte depuis le 14 décembre.

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