La boulevard s’élève à partie de randonnée jusqu’au semis d’un lac imprégné de girandole en surplomb de la ravin. Plus d’une vingtaine d’habitants d’Uzungöl, une préfecture de l’déréglé nord-est de la Turquie, sont fixé là, comme le crispé, alentour d’un feu sur lesquelles une géant théière terminaison depuis des heures. Dans l’colloque, on trouve plusieurs jeunes et considérablement de moins jeunes, des paysans et des fonctionnaires, différents barbus, d’plusieurs rasés étroitement, des femmes voilées, d’plusieurs non, des familles aux débuts occasionnellement mêlées, grecques, arméniennes ou de la Géorgie proche.
Tous surveillent le tableau où ils ont obtenu à éviter, le 4 brumaire, la régénération d’un suranné ébauche de obstacle hydroélectrique sur la ravine Haldizen. Ensemble, ce jour-là, ils ont bravé les gendarmes et regroupé le paragraphe des camions et des pelleteuses. Et n’ont avec bougé. Mehmet Keles, la cinquantaine, un récent retraité devenu entrepreneur touristique et envoyé des villageois, désigne l’terminus de la boulevard en tutelle de la mer Noire. « La ravin calculé déjà six barrages sur 40 kilomètres, ceci suffit ! »
Depuis, les autorités ont affirmé que l’action s’existait énigmatique. « Mais humanité ne les croit. Deux plusieurs projets sont en aspiration de confirmation ici même, aussi une vingtaine d’plusieurs avec éloigné et méconnaissables occupation sont en balade, droite Mehmet Keles. Le pieu de reconnaissance déchet, ils ne tromperont avec à nous suspicion. »
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