Le antérieur représentant anglais, Keir Starmer, a vanté les « fondations inébranlables » de l’entente « glorieux » compris les Etats-Unis et le Royaume-Uni, dimanche 20 janvier, à la soirée de l’installation de Donald Trump. Le virtuose travailliste a identiquement aventure valeur au gouvernant élu de ses « avec chaleureuses congratulations ».
Ensemble, les couple état doivent rehausser « les défis internationaux lesquels nous-même sommeils confrontés et apporter à nous collaboration à un étiage curé, axé sur des opportunités communes de amplification », a ouvert le moteur du métier anglais là-dedans un billet.
Arrivé en juillet à Downing Street, Keir Starmer, lequel le défaillant travailliste de coeur balourde est chronologiquement avec adjacent du défaillant républicain, s’efforce de se concilier des républicains et de Donald Trump, et de boursicoteur retrancher les capitaux de nombreux de ses ministres, lors là-dedans l’antinomie, lorsque du antérieur commission du gouvernant étasunien.
Le moteur du métier anglais est de la sorte devenu depuis ceux-là mensualité la victime du riche étasunien Elon Musk, devenu un associé de surcharge de Donald Trump.
« Avec l’attachement de oblongue occasion et les rejeton historiques en même temps que le Royaume-Uni du gouvernant Trump [dont la mère était née en Ecosse], je sais que cette profonde compréhension perdurera », a malheureusement insisté Keir Starmer.
Inquitâches concernant l’Ukraine
Londres souhaite spécialement poursuivre les négociations en vue de la émargement d’un acceptation vendeur en même temps que les Etats-Unis, et Keir Starmer a gazette cette semaine là-dedans un bricolage au Financial Times et à Politico qu’il avait « dit explicitement » à Donald Trump sa médiateur en la substance.
Comme ses alliés occidentaux, le Royaume-Uni s’consterné de la sorte des conséquences du rapatriement de Donald Trump à la Maison Blanche à cause l’destinée de l’Ukraine, lors que le gouvernant étasunien a affirmé demander intensément fixer fin à sa belligérance quant à la Russie.
Dans son billet, Keir Starmer rappelle qu’chronologiquement Londres et Washington « ont, assemblage, sauvegardé le monde quant à la absolutisme ».
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