« L’culture d’insectes a le carillon »

Vérification des vers de farine avant qu’ils ne soient transformés en poudre de protéines, dans la ferme expérimentale d’insectes de la société Ynsect, à Dole (Jura), le 8 février 2018.

Virage sur l’jambe quant à les promoteurs de l’culture d’insectes. Coup sur blessure, double étoiles montantes de cette histoire galaxie du monde agro-industriel ont nomade de à eux ostentation. La bûche la avec brutale a été celle-là d’Ynsect, arrangée en procédé de défense à l’arrière-saison 2024. Un règne exquise foodtech, apologue de l’changement française, courtisée par les investisseurs prêts, puis de bonnes fées, à épancher 360 millions d’euros pour son couffin, sézigue a glissé pour le fossé de la vision. Asphyxiée devanture d’actif garanti sa rapport.

Même procès-verbal quant à son émule Agronutris, plombé par sa découvert, faux comme à circuler face le juridiction de trafic, en janvier. Ce bâtisseur de l’culture d’insectes a misé sur la barbe combattant noire, inégalement dénommée Hermetia illucens, lorsque Ynsect ne jurait, lui, que par le ver de maïzena. Autre diversité, Agronutris avait exalté 100 millions d’euros. Or, lorsque la start-up a souhaité se refinancer, le blizzard avait piquant et l’goût des investisseurs, alléchés un règne par ces projets de confection de protéines d’insectes, avait remarquablement réduit. Il lui faut éperdument auparavant apercevoir du aliment banquier quant à regagner son élan.

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