
Laurent Wauquiez, concurrent à la régie des Républicains (LR) laquelle le plébiscite se déroulera le 17 mai, a histoire terminus à Carcassonne, ce jeudi 13 ventôse, contre buter les adhérents du absent de loyale de l’Aude. Face à son combattant Bruno Retailleau, consul de l’Intérieur, le messager de la Haute-Loire veut brimbaler pâturage sur le position jusque pendant lequel les avec petites fédérations d’un absent en enceinte amélioration.
Le ancienneté où Les Républicains (LR) rassemblaient les foules ne semble qu’un arrière fétiche. Le absent de loyale, placé par Nicolas Sarkozy, a été insensé ces cinq dernières années par les macronistes et l’inique loyale puis le Rassemblement citoyen. Tout avec le Parti socialiste, qui a longuement été son fondamental combattant, les LR veulent se relever, calculs ensuite calculs. La vernissage établissement à mettre est l’préférence, donc du concile du 17 mai 2025, d’un récent boss à la régie du absent. En stade, double ténors : le gouvernant des LR à l’Assemblée nationale, Laurent Wauquiez et le prolétaire consul de l’Intérieur, Bruno Retailleau.
Ce jeudi 13 ventôse, le messager de la Haute-Loire s’est roué à Carcassonne, pendant lequel l’Aude, contre buter une prise de militants, maladroitement une trentaine sur les double cents adhérents. Il est avenu à sa annexion évidente escorté d’Isabelle Chesa, 1re adjointe au bailli et candidate aux prochaines élections municipales de 2026 pendant lequel le chef-lieu audois. L’fortune de imaginer son accoudoir perpétuel pour l’gâtée locale. “Il y a un travail de fond à faire avec le maire, Gérard Larrat. Je pense qu’Isabelle a Carcassonne dans le cœur”, morceau l’vénérable consul de Nicolas Sarkozy.
Une pâturage à la Chirac
Laurent Wauquiez a quant à une pâturage à enjoindre. La tâche, contre convoiter la régie des LR, s’proclamation ardue avers à un Bruno Retailleau en enceinte balistique, insistant par de peuplé cadres du absent. La tactique est ouverte contre le ambassadeur de loyale : réintégrer à la introduction. C’est-à-dire malgré des militants. “Il faut faire du terrain et avoir du respect pour nos adhérents en allant partout”.
L’vénérable gouvernant de la arrondissement Auvergne-Rhône-Alpes veut supporter un vertu chiraquien qu’il invoque à divergentes reprises donc de son allocution. “J’aimais la façon dont Jacques Chirac faisait de la politique. Il faut y ajouter la détermination de Nicolas Sarkozy. Notre famille politique doit former une nouvelle génération en faisant naître les talents de demain”, confie-t-il prématurément les militants.
Le revenant de la élément
Laurent Wauquiez veut abstenir les fautes du passé. “Je ne veux pas qu’il y ait de division. Il faut additionner le savoir de chacun plutôt que de s’affronter. Si je suis élu, je travaillerai avec tout le monde car nous en avons besoin”, défend-il. D’autre part, donc de son exil en macrocosme audoise, le messager n’a pas taclé son combattant, Bruno Retailleau, hideux même de diviser de “combat” pendant lequel cette pâturage intérieur. “Il est au gouvernement, ministre de l’Intérieur, c’est un gros boulot, il faut l’aider à réussir. De l’autre côté, le parti, c’est aussi un vrai travail. On est dans la même famille politique et je travaillerai avec lui en équipe quand je serai élu à la tête des Républicains.” Et si l’contradictoire se généré ? “Il faudra lui poser la question, mais je n’en doute pas.”
En cas de gain à la régie des LR, une grillage s’oblige : icelle d’une acceptable postulation à l’préférence présidentielle de 2027. “Il faudra un seul candidat pour la droite. Je ne veux pas d’un candidat de la droite, du centre et de la gauche”, précise-t-il. Alors, que fera-t-il puis Edouard Philippe, boss d’Horizons et vénérable adhérent de sa souche machiavélisme, qui a histoire diplôme de postulation ? “Il veut être un candidat qui défend les valeurs de la droite ou celui qui protège celles de la droite, du centre et de la gauche ? Pour l’instant, sa réponse n’est pas très claire”.
Refus d’une ancien
Aux dernières élections présidentielles, en 2017 et 2022, les LR avaient histoire le consentement d’une ancien contre désigner un concurrent. Les double se sont soldées par une insuccès dès le 1er rythme. “Je ne veux pas de cela. C’est un poison, une machine à perdre et à diviser. Pour les adhérents, c’est écœurant. Vous avez des militants des Républicains qui sont impliqués dans notre famille. À l’arrivée, on leur dit : non, ce n’est pas vous qui allez décider et choisir votre candidat. Je pense que ce n’est pas le bon système”.
À établir que Bruno Retailleau, lui, est en obole d’une ancien. Rendez-vous le 17 mai contre conclure un primordial résultat parmi LR.
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