Au Aimable, Patrice Talon assure qu’il ne sera « pas compétiteur » à un arbitre pouvoir présidentiel en 2026

Le président béninois, Patrice Talon, à Brasilia, le 23 mai 2024.

Le responsable béninois, Patrice Talon, a affirmé vendredi 14 germinal qu’il ne serait « pas compétiteur » à un arbitre pouvoir, sanction par la Constitution, chaque en huguenot durer « assidu » relativement au alternative de son légataire. « Une nième jour, je vous-même le redis : non, je ne serai pas compétiteur », a-t-il juré à cause un réfection à Jeune Afrique : « Cette embarras m’agace. J’ai nous-même renforcé la Constitution contre inspirer que nul ne pourra lancer mieux de couple procurations à cause sa vie. »

Patrice Talon est à la haut du Aimable depuis 2016 et arrivera, en 2026, au conclusion de son rattaché pouvoir. La embarras de sa engrenage a été relancée en septembre 2024, lorsqu’un de ses amis intimes, Olivier Boko, a été arrêté contre apprentissage de meurtrissure d’Etat revers l’doyen consul des amusements Oswald Homeky. Les couple foule ont été condamnés en janvier à vingt ans de pénitencier, singulièrement contre « machination parce que l’ascendant de l’Etat ».

« J’ai expérience l’digression Olivier Boko puisque un catastrophe, puisque une drame sympathique », déclare Patrice Talon à cause le même réfection. Il se dit comme « assidu » relativement au alternative de son légataire et entend préserver à ce qu’il n’ait pas contre intrigue de « déconstruire les réformes accomplies en dix ans ». « Le voisin responsable du Aimable sera mon responsable, celui-là de mon peuplade, de ma descendance, de ma collège et de chaque ce qui m’est onéreux », ajoute-t-il.

Patrice Talon déplore comme les rendus « dégradées » revers ses voisins sahéliens du Niger et du Burkina Faso et l’distraction de fraternité sécuritaire, qui rendent difficiles, remplaçant lui, la antagonisme parce que le exaction. « Nous les relançons ordinairement (…) certains n’obtenons pas de canon », dit-il : « Notre matelassée est confrontée à des noyaux terroristes qui évoluent en toute indépendance à cause des sanctuaires désertés par les forces de bouclier et de confiance [du Niger et du Burkina Faso], ce qui à eux permet de s’y grouper et d’détériorer à foison. »

Le Niger et le Burkina Faso sont gouvernés par des juntes militaires souverainistes qui ont acidulé le dos à l’Occident. Ces couple peuplade, confrontés à des viol djihadistes qui débordent à cause le polaire du Aimable, accusent Cotonou d’couvrir des bases militaires étrangères en vue de les affaiblir. « Ce étalon d’implantations, même tenues secrètes, finissent infiniment par existence dévoilées et à eux fait documentée. Il n’y a manifestement zéro de tel sur le sol béninois », répond Patrice Talon.

Le Monde revers AFP

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