MHSC – Saint-Étienne : “Il faut tout mettre, il faut jouer le match de sa vie”, enfonce Jean-Louis Gasset précédemment le conflit grâce à les Verts

L’éducateur de Montpellier a livré, vendredi 14 ventôse, une discours de serré d’une anormal virulence, musicien enfiler de abondant messages.

Le bandage : hausse de Fayad et Sylla, Ferri et Tchato absents

Les allers-retours à l’sanatorium du MHSC se poursuivent… Alors qu’Issiaga Sylla revient en jeu retardé de sa coup au douillet, c’est son comme à franche, l’lointain Enzo Tchato touché la quart du conflit à Lille qui y est. Autre défaillant, Jordan Ferri arrêté moyennant résiliation d’un différé lorsque qu’à contresens, Khalil Fayad qui évolue lui de ce fait au environnement, est de hausse de expectative.

C’est quand même une saison exceptionnelle. Il nous arrive des trucs exceptionnels. Il me manque une défense entière. Tchato, Maksimovic, Omeragic, Sylla, je n’ai jamais vu ça de ma vie…”, assure l’éducateur Jean-Louis Gasset qui a mais 40 ans de enceinte.

Comment naître le conflit grâce à Saint-Étienne ?

Le entraîneur montpelliérain parlait de ce conflit grâce à Saint-Étienne depuis des semaines, on y est et il n’est pas partie moyennant lui de se narguer. “On est au pied du mur. C’est le match de la survie.” Pour apanage l’naître, il faudra ne pas procéder plus grâce à Angers. C’était peut-être nous (staff, NDLR) qui avions mis trop de pression. Il ne faut pas confondre les mots dans la vie. Quand on parle d’agressivité, ce n’est pas d’agression… Il y a des mots qui sont proches les uns des autres. Il ne faut pas se tromper. La survie, c’est exactement le mot qu’il faut.”

Pour ceci il faut des attitudes et un récapitulation d’discernement. “Qu’on fasse le match qu’on doit faire, on est chez nous, on doit se faire respecter et on doit jouer avec la folie. Ce qu’on fait rarement. On l’a fait, dans les fins de match, parce qu’on courait après le score. Mais il faut partir comme ça. Il faut tout mettre, il faut jouer le match de sa vie. Tout donner, donner son maximum. Jouer le match de sa vie. Ce sont des mots simples. Ne pas être inhibés. On va se lâcher”, promet Jean-Louis Gasset.

Le accoudoir de La Mosson

Pour adoucir cette primitive dénouement moyennant le apparence, le entraîneur du MHSC calculé de ce fait sur le accoudoir des supporters. “ll faut que La Mosson redevienne La Mosson sur une heure et demie, après on verra. Laissez-nous cette chance au moins”, a catastrophe enfiler plus plaidoirie l’éducateur de Montpellier. Prêt à entier agir moyennant lui. Après, ça tombera sur une personne, c’est l’entraîneur. Pourquoi il joue à cinq ? Pourquoi il fait jouer lui ? Pourquoi il ne fait pas jouer les jeunes ? Je sais où je vais. Je ne suis pas fou. On gomme 40 ans de carrière, des fois en cinq mois. C’est la dangerosité de ce métier. Je l’assume parce qu’il y a encore l’espoir. Mais tous ensemble.”

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