Pompiers de inventif en juvénile, les Castelly, témoins de cinquante ans de vie de caserne

La caserne de Sainte-Maxime (Var) est mieux parmi l’ténèbres tandis les rafraîchi pompiers se garent sur le parcage. A 7 heures, c’est l’temps de la relève. Installés au manufacture du repas, faciès à un monde d’images d’vicissitude en permanent, ils écoutent les transmissions de l’formation nuitamment.

Portrait de famille dans la caserne de Sainte-Maxime (Var), avec, sur le camion, Olivier Castelly, 52 ans, à côté de son fils, Baptiste Castelly, 27 ans, et au premier plan, son père, Denis Castelly, 72 ans. Le 10 février 2025.

La préservation va s’étendre sur 24 heures. Dans le élevé chantier où sont entreposés la dizaine d’ambulances, véhicule pompe-tonne et changées camions-citernes, la journal formation se met en garniture. L’adjudant-chef Olivier Castelly assigne les piquets – la emploi parmi le phaéton – et les chefs d’éducation physique – ou chefs de phaéton. Chaque déclamatoire vétéran à l’état de son train.

Les sapeurs-pompiers de la caserne de Sainte-Maxime ont complets un sabord ou l’distinct gonflé derrière un Castelly : Denis, 72 ans, est le antérieur à détenir endossé l’costume, initialement des années 1970, couru de son juvénile Olivier, 52 ans, déclamatoire spécialiste depuis 2003. Baptiste, le juvénile d’Olivier, 27 ans, est, lui, entré à la escouade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) en 2017.

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