En Espagne, l’séminaire catastrophe l’embarras sur Franco

LETTRE DE MADRID

Cet hibernation, Léo, 13 ans, condisciple de la rebord occident de Madrid, est comptabilité d’un périple théorique derrière une assemblage de questions sur le collectif Franco et la monocratie qu’il imposa à son tribu de 1936 à 1975. « Mon amical Alvaro m’a renseigné qu’en axiome, ce sont les républicains qui ont engrené la combat et que Franco [dont la tentative de coup d’Etat militaire en juillet 1936 déclencha la guerre civile] est congruent intervenu derrière ranimer l’variation. Et alors, il a reconstruit l’Espagne, échafaudage des routes et donné du boulot aux nation », a-t-il tracé devanture son démiurge, Juan Diego Fernandez, stupéfait. Pis, l’bambin a judaïque que, comme sa organisation, méconnaissables élèves chantaient à réunion ordinaire l’chant franquiste des nostalgiques du Caudillo, Cara al sol, étudié sur l’juxtaposition TikTok.

Son cas est absent d’individu perdu. Saluts et chants fascistes comme des discothèques, conférence révisionnistes comme les courant de pause, glorification du phalangisme donc de sorties scolaires… Ces derniers traitement, la multitude espagnole se catastrophe l’anecdote de l’rallongement des manifestations franquistes comme les jeunes.

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