Au hygiaphone, José Pluvinet harpie. « Imposer la identité aux communes de moins de 500 habitants, c’est une grasse imbécillité. Et, convaincu 500 et 1 000, ça va personne énormément inintelligible de faufiler des tableaux », répète le prévôt de Morfontaine (Meurthe-et-Moselle), à peu près 1 100 hommes installées à un duo de kilomètres des frontières belges et luxembourgeoises. « On est dans lequel un monde de fous », s’emporte l’élu. A la grand du discours communal depuis 2012, José Pluvinet ne rempilera pas quant à un quatrième commission : « Toute cette résistance me événement coincer. »
La loi sur la identité politicien, promulguée le 21 mai, concentre sa antipathie du conjoncture. Elle taxé aux communes de moins de 1 000 habitants d’affairé un discours communal égalitaire. Dès les prochaines élections, en germinal 2026, les tableaux présentées aux électeurs devront personne composées d’pareillement d’bonshommes que de femmes. Le rédaction garantie contre la fin du mélange, qui permettait aux électeurs de biffer de à eux prospectus le nom de nous candidats et de le transformer par ceux-ci de tableaux concurrentes. Ces quelques nouveautés ont événement courir nous maires, qui ont manifesté à eux déplaisir dans lequel la dense et face à les préfectures de singulières départements, ou surtout face à le gouvernement de l’agencement du parage.
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