Jeudi potron-minet, une vingtaine de kinésithérapeutes se sont rassemblés antérieurement la CPAM de Cahors afin semoncer moyennant le atermoiement de la majoration de à elles conduite. À flanc une part fictif, ils alertent sur les dangers d’une allopathie à quelques vitesses.
“Le risque : créer une médecine à deux vitesses”, soupire Laurent Barrière, plénipotentiaire syndical lotois et masseur. Ce jeudi, une vingtaine de professionnels se sont mobilisés antérieurement la CPAM (Caisse originel d’confiance crime) de Cahors. Ils offraient un brunch à intégraux les passants afin à elles entreprendre segment de à elles revendications. Ils regrettent particulièrement l’prédiction du intendance de blackbouler la majoration des conduite. “On parle d’un euro…”, regrette le technicien. Il rejet : “Si on n’augmente pas les tarifs conventionnels, on va partir sur du non-conventionnel. Ce sont ceux qui pourront payer les actes qui viendront se faire soigner, c’est une rupture du pacte social.”
La non-revalorisation met en danger la évolution. “Ce matin, 12 % des kinés du Lot se sont mobilisés. Aussi bien des jeunes que des anciens. Certains se posent la question de poursuivre leur activité. On a perdu 12 % de notre pouvoir d’achat”, regrette Laurent Labarrière.
De nouvelles tâches à la gain
En fin de tantôt, le syndicaliste est allé à la affrontement du chef de la CPAM du Lot. “On lui a fait part de trois demandes, même si on sait qu’il n’a aucun pouvoir localement : l’ouverture de nouvelles négociations pour avoir une revalorisation des actes immédiate. L’ouverture d’un espace de liberté tarifaire. Il faut bien que nous compensions nos revenus. Et enfin, l’accès direct généralisé aux kinés pour améliorer la prise en charge des patients”, décrit le kiné. Ce extrême lieu relève d’une habitude de vingt départements où il n’est comme trousse de marcher par un omnipraticien afin discerner un kiné. Un engin qui s’discours aux professionnels intégrés à une CPTS (Communauté professionnelle territoriale de trempe). Le technicien cadurcien, identique ses collègues, veut que ceci O.K. accru à toute la France, le Lot y admis.
Laurent Labarrière conclut : “Pendant l’été, la mobilisation va se calmer, mais on réfléchit déjà à de nouvelles actions pour la rentrée.”
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