Tour de France à Montpellier : de 100 000 à 250 000 euros, quel nombre ça coûte à la ordinaire d’héberger la Grande Boucle ?

Chaque ordinaire souhaitant héberger le Tour de France doit rémunérer un diminué thésaurisation contre de l’combinaison du Tour de France. Mais le échelle n’est pas le même en cas de ville-arrivée ou ville-départ.

Neuf ans postérieurement sa dernière accession, le Tour de France retrouve Montpellier. La nominé héraultaise, inversement à 2016, ne sera pas ville-arrivée la récipient et ville-départ le demain, uniquement naturellement ville-départ. Ce sera ce mardi 22 juillet, le collectif prendra la pilotage du Mont Ventoux. De principalement, les habitants de la ordinaire, en fouillant un peu, devraient découvrir les coureurs au classe de la naissance de lundi, hublot de relâchement à cause le Tour.

Mais à cause héberger le collectif de la Grande Boucle, quel nombre la ordinaire doit rémunérer ?

D’extérieur, tout cycle, l’combinaison reçoit 300 candidatures (250 en France, 50 à l’extrinsèque). Et les barêmes des ville-départ et ville-arrivée ne sont pas les mêmes. “Le ticket d’entrée, c’est 100 000 euros pour un départ, et 140 000 euros pour une arrivée. Donc un peu moins de 250 000 euros pour les deux”, explique Christian Prudhomme, supérieur du Tour.

1 850 tribunaux réservées

“Ces 250 000 euros, c’est que nous dépensons tous les soirs en hébergement. Tous les soirs, on réserve 1 850 chambres. Donc en fait, on réinjecte immédiatement dans le tissu économique local. C’est mon prédécesseur qui a mis ça en place, Jean-Marie Leblanc, et c’est une excellente idée”, ajoute Prudhomme.

Sans amasser ceux-ci qui gravitent alentour du Tour, chez les journalistes ou les supporters.

“La force de la collectivité, ce n’est pas l’argent qu’elle nous donne, c’est la possibilité d’avoir une étape. Si on n’a pas un maire qui veut le départ ou l’arrivée, ou un président du Département qui donne les routes, il n’y a pas de course cycliste. On n’a pas notre stade, on n’est nulle part chez nous. Donc on tisse des liens en permanence”, conclut Prudhomme.

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