800 000 euros par an à cause “racheter sa propre ressource” : mis en motif par le édile de Laroque-d’Olmes sur le accessit de l’eau, le Saeppo réfutation

l’basal
Prix, suppression de la titre, procès en probité : mis en motif nouvellement par le édile de Laroque-d’Olmes à cause une rallongement de 60 % des tarifs de l’eau, le Saeppo réfutation à l’élu.

Sans arrêt de à nous traité publié le 30 juillet 2025 action “Hausse du prix de l’eau de 60 % : Patrick Laffont hausse le ton”, le Saeppo tient à “rétablir plusieurs vérités” sur cette nourri de tarifs qui coup Laroque-d’Olmes.

“Contrairement à ce que suggère l’article, le tarif de 3,70 € le mètre cube n’a pas été décidé par les élus du syndicat, indique ainsi le président du syndicat, Michel Morell, dans un communiqué. Il s’agit d’une obligation imposée par la Chambre régionale des comptes d’Occitanie, dans le cadre d’une procédure de contrôle budgétaire initiée par la préfecture de l’Ariège. Le Saeppo n’a fait qu’exécuter un avis formel imposé pour assurer l’équilibre budgétaire, sous peine de rejet du budget 2025.”

À dévisager moyennant :
“On leur livre l’eau, mais ils ne veulent pas payer” : aridité, table en nourri… La campagne de l’eau est carrée entre ce arrondissement rustique

“Les sources de production appartiennent historiquement au Saeppo, créé en 1936, rappelle encore Michel Morell. L’adhésion à la compétence “floraison” du SMDEA avait été exigée en 2012 par les services de l’État, avec promesse que le syndicat ne paierait que le coût strict de production (0,25 €/m³). Aujourd’hui, cette même eau est refacturée à 1,13 € le m³, générant un coût annuel de plus de 800 000 € pour le Saeppo, qui doit racheter sa propre ressource.”

Une suppression unilatérale

Le directeur du Saeppo encastré le vélo : “C’est bien le SMDEA qui a rompu unilatéralement la convention de distribution d’eau, refusant la grille tarifaire votée par le Saeppo, alors même que ce dernier fournit toujours de l’eau à des abonnés du SMDEA sans aucune contrepartie financière. Le silence de l’État sur cette situation est assourdissant.”

Avant d’incriminer : “Nous regrettons que des élus utilisent cette situation à des fins électorales. Ce dernier n’est pas étranger aux décisions du syndicat : son propre conseiller municipal est vice-président du Saeppo. Le Saeppo a déposé plusieurs recours devant le tribunal administratif de Toulouse afin de contester ces pratiques de double facturation et de défendre son autonomie. Nous espérons une issue favorable qui permettra, à terme, de revenir à un tarif plus juste pour les usagers. Le Saeppo continuera à défendre l’intérêt de ses abonnés, avec transparence et détermination, loin de tout jeu politique.”

Comments are closed.