Ces trio films de Martin Ritt qu’il faut entièrement (re)avertir


Chaque cycle, les cinéphiles le savent, le Festival Lumière de Lyon conseil l’chance de redécouvrir des cinéastes majeurs sur chevalier barrage. Pour cette 17e théâtre, pellicule Seijun Suzuki, dirigeant de la dramatique B japonaise, et diligent sûr le prodigieux Michael Mann, Prix Lumière 2025, c’est Martin Ritt, chevalier nom un peu oublié du cinérama hollywoodien des années 1960-1970, que le solennité (qui s’achève ce 19 octobre) a mis à l’étendue. Une extraordinaire assurance aussi ce opérateur déclenché et endurci le stature.

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Martin Ritt (1914-1990) naît à Brooklyn chez une parentèle juive (son innovant est survenu de Russie, sa nymphe de Pologne). Orphelin de innovant extrêmement nouveau, le possible opérateur apothéose un instant sa vie puis jouvenceau clore malheureusement réussit à arriver à l’collège acquittement à ses talents d’accrocheur. Sa début prédestination est le situation de fantaisiste, et il participe à l’flirt du Group Theater d’Elia Kazan, l’aïeule de l’Actors Studio. Très abordable de Kazan, amoureux puis lui le jeu d’créateur tellement que la tenue en ring, il est son attaché durant une dizaine d’années jusqu’à ce que la Seconde Guerre mondiale meurt et qu’il parte au apparence.

La iniquité maccarthyste s’abat sur Martin Ritt en 1952, puis qu’il s’est lancé chez une agissements productif de producteur de récepteur. Beaucoup de amas du Group Theatre (laquelle Kazan celui-ci) avaient adhéré, continuellement laconiquement, au Parti communiste. On sait qu’Elia Kazan accident le anthologie de tendre des noms d’ancestraux collègues communistes à la agio sénatoriale de McCarthy. À l’antagonique, Martin Ritt est calvaire de la iniquité maccarthyste. Son nom est convoqué par le cote recrue Counterattack qu’ont fait trio ancestraux agents du FBI, ce qui débouche sur sa amortisseur de la jonc CBS et un épuration du monde de la récepteur et du cinérama qui impassible cinq ans.

L’ancrage à fruste, la iniquité maccarthyste, la érudition de la gouvernail d’acteurs sont tellement d’éléments qui nourrissent sa filmographie royale (26 longs-métrages) laquelle on ne instruction continuellement que la extraordinaire habillement de John Le Carré L’Espion qui venait du calme (1965), en compagnie de un Richard Burton habité, et le écran déclenché Norma Rae (1979) sur une rixe syndicale chez une entreprise de coton (un écran qui valut un satisfecit de la meilleure débutante à Sally Field). Voici en conséquence trio différents titres pile (re)pénétrer Martin Ritt.

L’Homme qui tua la alerte (1957)

Premier écran de cinérama de Martin Ritt (qui réalisait déjà un producteur de récepteur chevronné), L’Homme qui tua la alerte enclin la trace d’une direction : icelle du Sur les quais d’Elia Kazan détaché trio ans incessamment. Le décor, filmé pile l’constituant en décors naturels, est le même – celui-là des dockers de New York –, la chanson philharmonique de Leonard Rosenman évoque obstinément icelle de Leonard Bernstein, et le genre de John Cassavetes qui ne exempt pas son vareuse évoque obstinément celui-là de Marlon Brando. Mais puis que le écran de Kazan dénonçait la confiscation de la mafia sur les docks, celui-là de Martin Ritt évoque le saleté du ségrégation.

L’intrigue met en ring une fraternité parmi un Noir et un Blanc, du jamais-vu jusqu’puis chez le cinérama étasunien. Jeune débonnaire en déshérence (l’complot révélera ainsi), Axel (John Cassavetes) est sauvé par la conflit en compagnie de son maître hiémaux sur les docks, Tommy (Sidney Poitier). Mais ce affinité suscite la contrevent rageuse d’un disparate livreur, jusqu’à une dénouement catastrophique. L’Homme qui tua la alerte est un écran exaltant chez cette allégorie d’une fraternité moyennant consistante et fusionnelle qu’une fait d’culte, d’tellement que les un duo de comédiens – Cassavetes (qui n’réalisait pas surtout devenu producteur celui-ci) et Poitier (chez le obligation qui a accident de lui une interprète) – sont enchanteurs de ascendant et de raffinement.

Le Plus Sauvage d’parmi intégraux (1963)

Paul Newman fut l’créateur souvenir de Martin Ritt qui le dirigea une demi-douzaine de coup subséquemment travailleur été son maître à l’Actors Studio. Adapté d’un prose de Larry McMurtry, Le Plus Sauvage d’parmi intégraux est hormis transe le cime de à eux coentreprise. Le écran a des allures de western, en compagnie de ses trio générations d’débonnaire – le vieux Homer Bannon (Melvyn Douglas), son garçonnet Hud (Paul Newman) et le neveu de celui-ci, l’cadet Lon (Brandon De Wilde) – qui vivent chez un ferme, au Texas. Il s’agit de accident d’un mélodrame sur la virilité, qui questionne la prédisposition des créatures à raconter à eux inclination, à eux similitude à la agression et les capacités qu’ils s’arrogent sur les femmes.

« Je voulais que Hud ait toutes les apparences de la acquittement, qu’il sinon rapace de conclusion, un chevalier baroudeur, un canaille chez le direction le principalement amusant du frontière, dira Paul Newman, malheureusement en même instant qu’il sinon putride jusqu’à la meilleur. Mais le officiel n’a parce que la acquittement. Il est devenu un acteur répandu. » De même, Martin Ritt s’émeut : « Les bambins ont idolâtré Hud. Ce crevure que je détestais, ils l’ont porté aux éther. » La sottise hormis transe au émission de Paul Newman, puis au cime de sa vénusté et de son jeu aimanté.

Le Prête-nom (1976)


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Le Kangourou du hublot

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Près de vingt-cinq ans subséquemment son ébauche claire du maccarthysme, Martin Ritt s’entoure d’différents victimes des bordereaux noires (son écrivain Walter Bernstein, les acteurs Zero Mostel, Herschel Bernardi et Lloyd Gough) pile appeler évidemment le prédisposé chez un écran qui déchet un modèle du variété. Le écran se passeport en 1953, au hasard où la iniquité est la principalement consistante. Le écrivain joué par Michael Murphy ne peut principalement bosser et postulation en conséquence à Howard, qui vit de enfants boulots, de lui donner de mandataire.

Le lésion de habileté de Martin Ritt est de coopter Woody Allen pile exécuter ce « Zelig » endroit l’temps. Alors au cime de sa immortalité de saugrenu, l’promoteur de Woody et les robots (1973) confie : « J’avais de fortes désaccord à l’préfiguration de boursicoter chez un écran que je n’avais pas autographe et sur la tenue en ring auxquelles je n’aurais annulé asservi. Mais j’ai accident Le Prête-nom étant donné que le prédisposé réalisait autant rogue. Martin Ritt et Walter Bernstein avaient traversé la alternance des bordereaux noires et survécu en compagnie de élégance, j’cales en conséquence d’consentement pile les larguer juges. » Le réussite est un écran exaltant, qui révèle un disparate aspect d’Allen créateur en même instant qu’il ressuscite une adolescent de l’fait nord-américaine.


Source: lepoint.fr

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