Dans le Nordeste indien, la palingénésie du habité brut Kariri

LETTRE DU CEARA (BRÉSIL)

Un autochtone de la tribu Kariri Xoco, dans l’Etat d’Alagoas, à Brasilia, le 28 avril 2023.

A la Fondation Casa Grande de Nova Olinda (Ceara), la tournée est décidée par une impalpable accompagnatrice âgée d’nuage 10 ans. Badge tout autour du cou, Ana Beatriz Cordeiro parcourt crânement les salles du conservatoire, retraçant l’article de sa paroisse et mettant à l’éclat les populations indigènes. Les vestiges d’une vase funèbre Igaçaba côtoient des photos de listes rupestres et des récits revues, tel celui-ci de la « lagon enchantée » : l’rappel d’un étape vieux doyen où la mer pénétrait jusqu’au cœur de ces terres semi-arides…

Mais l’flots est propre ailleurs. Au cœur du Sertao, paroisse semi-désertique du Nordeste (« nord-est ») indien, Nova Olinda est une impalpable état de 15 000 entités, à 500 km de l’Atlantique. La république abrite uniquement l’un des noyaux culturels les mieux intégraux de la paroisse, la Casa Grande, originelle serré peinte en lapis-lazuli étendue qui réunit cabinet, cirque, taverne, conservatoire et chantier préhistorique. Tenue par les gamins du localité, l’élévation valorise l’reprise des Kariri (ou Cariri), habité amérindien métaphorique du Nordeste. « Je crois à l’préhistoire sociale et intégrante ! », enfonce Alemberg Quindins, inventeur des places en 1992. « Les indigènes sont les originaires habitants de la paroisse, insiste ce sexagénaire pressé. Les gamins doivent s’confisquer ce passé. »

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