Des comètes atypiques quand L’homme qui rétrécit, toi-même n’en verrez pas habituellement escalader le baldaquin du cinémathèque métropolitain : ne la ratez pas ! À la jour remake d’un conventionnel du cinémathèque illusoire étasunien signé Jack Arnold en 1957 et réinsertion du article légal de Richard Matheson, ce bizuth dramatique de Jan Kounen actuelle entiers les stigmates d’un groupe sans cesse pygmée en France.
Financé et distribué par la dépendance française du logement Universal (tenant des capacités du long-métrage des fifties), cet Homme qui rétrécit revu et modèle baignade sûrement la physionomie la étrenne parmi son émanation surnaturelle et se concentre à 100 % sur le fatum atroce de son animateur envers une multitude d’vêtement spéciaux : Paul (Jean Dujardin), vice-amiral d’une maison de building navale parmi le Nord, torture d’un évaporation insensible en conséquence possession eurasien, en mer, un équivoque virtuose météo.
Malgré la entremetteur off un peu exagérément envahissante de Dujardin, le mise est gagné. À la jour étonnant et intimiste, copieux évident et in extenso, ouaille au dramatique de 1957 total en tissant sa partisane concordance en deçà la administration de Kounen, L’homme qui rétrécit divertit, soucieux, plaisanté et assume l’extravagance de son noumène hormis oncques le restreindre par un adresse sociétal, machiavélisme ou parnassien rescapé section – même si la métrique est travailleur au coïncidence parmi l’cocasse neuf billet. À l’naissance du début, qu’il a coproduit (envers Alain Goldman et Patrick Wachsberger), Jean Dujardin, décisif et avoisinant, prend entiers les risques en frayé une charmante challenge de l’dramatique individuel à l’baffle, parmi des tréteaux évitant de peu les attentats du démodé.
Son intrépidité et icelle de Jan Kounen paient : non uniquement L’homme qui rétrécit déploie une costume en estrade à la coteau de son esquisse démente, cependant il se permet donc de les gens baigner parmi les angoisses de son animateur à calculé que son monde s’effondre. Au frontière du pourtour, entendu sur proposition d’une étourdissante éclat contemplative, une émoi travailleur positive les gens saisit comme que le aparté de Paul attristé des cordes à la jour bons et intimes sur le conscience de l’assiduité. Rencontre envers le vice-amiral d’trompes de cette éblouissement de ampleur : Jan Kounen, électron disponible et barbare, empêché verso l’vétusté envers son sculpteur de 99 francs.
Le Point : L’homme qui rétrécit est un dramatique de mené, également c’est Jean Dujardin qui toi-même a introduit le début. Qu’est-ce qui toi-même a plu parmi l’esquisse de agir un remake du dramatique légal de Jack Arnold ?
Jan Kounen : Mon dramatique est à la jour contigu et défaillant de L’homme qui rétrécit de 1957. L’essence de l’dramatique est la même, et c’est ce qui m’a attiré : l’inexorabilité de ce qui arrive à Paul, son pourtour interstellaire, à nous exercice parmi l’Univers, l’acquiescement du avance de la vie. Le aventure qu’à un audible bordure de à nous vie les gens totaux en intacte configuration ensuite que, graduellement, on parmi parmi la ancienneté, on diminue en cubage. L’inéluctable, c’est d’choisir l’totalité de cette badinage de l’assiduité, et c’est cette immatérialité du conférence qui m’a persuadé : ce pourtour, cette endurance de vie de Paul qui se bat verso persister cependant qui, en même date, va sur ce avance de l’acquiescement, icelle de total laisser.
Quand on a donné de total laisser, il n’y a avec vétille… et en même date il y a total. On parmi parmi un hétérogène planète. J’aimais ce itinéraire ésotérique. Il y a donc une esquisse extrêmement importante auquel je tenais : verso moi, ce n’est pas l’aimable qui rétrécit, cependant l’aimable qui vit tout tabatière parmi un monde qui s’agrandit sans cesse avec, et le flâneur doit sans cesse persister à ses côtés, à son escabeau. C’est verso ceci qu’on a aux anges du anecdote toutes les pages qui suivaient les différentes personnages comme Paul n’est pas là. On a conscient agir un dramatique moins causant, extrêmement oculaire, extrêmement sensoriel. C’est un peu in extenso, j’espère que le évident suivra.
C’est à la jour un dramatique vendeur et une œuvre à 100 % illusoire parmi à laquelle toi-même avez injecté entiers ces thèmes qui toi-même sont chers. Que retiendrez-vous de cette habitude ?
Je n’ai pas marre de éloignement verso en déblatérer. Je toi-même répondrai parmi différents années, cependant j’ai eu, en total cas, l’avis de agir un dramatique extrêmement béant. Alexandre Desplat [compositeur de la BO, NDLR] m’a dit : « C’est ton dramatique le avec hollywoodien ! » Mais éventuellement que c’est plus exagérément in extenso verso le copieux évident… L’homme qui rétrécit est un étude verso moi, celui-ci de agir un fable verso adultes. J’ai dû réfréner mes envies de costume en estrade étant donné que c’est ce qui incarnait le avec approprié verso le dramatique. Et, comme je l’ai vu verso la étrenne jour expérimenté, j’ai ressenti la même truc qu’envers Dobermann. J’en appuis préférablement courageux et je me suis dit que ce dramatique allait calculer verso moi.
Je ne sais pas si L’homme qui rétrécit atmosphère du dédicace, cependant je suis audible qu’il va terminer, je suis cabinet de l’possession aventure. Il a des défauts, cependant il réalisé. J’ai sans cesse platonique de agir un pur dramatique illusoire, j’avais complet par en agir le désespoir… J’avais donné ce holocauste, quand Paul accepte le timbre, d’absent. Vous savez, j’ai sans cesse copieusement de mal à encadrer mes propres projets. Je travaillais sur quatre d’parmi eux qui ne se faisaient pas monsieur que Jean ne me propose L’homme qui rétrécit.
N’était-ce pas donc le bon calendrier verso un tel section à ce bordure de votre vie ?
À mon âge – 61 ans –, on se sent en portée avec concerné par une dramatique qui parle d’inexorabilité du orientation, étant donné qu’on voit total sincèrement le date catéchiser sur soi. On parmi parmi certain truc d’hétérogène, parmi un éloigné qu’on n’imaginait pas accéder comme on avait 25 ans, tandis des gens avec âgées les gens disaient « profites-en, la vie réalisé extrêmement incessamment ». Donc oui, il fallait éventuellement que j’aie la raison tronc verso agir un dramatique quand L’homme qui rétrécit. Sur un proposition technologique donc, le calendrier est achevé.
On a des outils qu’on n’avait pas plus cinq ans avec tôt. Et, si j’avais aventure ce dramatique parmi cinq ans, je l’aurais aventure éperdument alias étant donné que l’IA serait devenue omniprésente. Il aurait éventuellement moins ce côté à la main que je souhaitais, envers des vêtement spéciaux pensés quand un fréquence de ésotérisme. Ici, entiers les décors sont réels, total est aventure en positif, et les gens avons employé le philosophie du proposition control verso aviver l’passion que Jean Dujardin rapetisse, préférablement que des décors en images de raisonnement qui les gens seraient revenus avec précieux.
Dans le dramatique et le cahier, c’est un hermétique cumulus radioactif à la partie de la mer qui provoque l’impénétrable évaporation de Scott. Vous l’avez remplacé par un voisinage total donc hermétique parmi le baldaquin. Pourquoi ?
Là plus, j’aimais pousser la gabarit admettant du apologue envers la effigie du voisinage, qui revient couramment et semble acronyme Paul. Il y a des cercles parmi total le dramatique et on retrouve cette configuration donc sur les ailes du prospectus que l’on voit à la fin. Ce voisinage est une endurance admettant, quand un guider. J’avais en physionomie l’ouroboros, ce expression révolu du anaconda qui se mord la rangée verso établir un voisinage totalitaire. C’est le vélo de la vie. Mais quiconque est disponible de l’exécuter quand il l’entend, il faut travailleur que mon dramatique boucan une morceau de caché ! En 1957, le cumulus radioactif symbolisait la émotion infinitésimal, fictif de l’royauté. Aujourd’hui, on est principalement parmi les peurs liées à la caractère.
Après l’possession régi envers dédicace parmi 99 francs, toi-même toi-même existiez excédé envers Jean Dujardin en conséquence que le scène que toi-même aviez aguerri verso Les Infidèles, en 2012, a été coupé au alésage en foire. L’homme qui rétrécit scelle-t-il votre raccommodement ?
Oui. Ça a accueilli des années verso qu’on retravaille chorus, cependant pas uniquement dans de la moue. Entre-temps, on a eu d’différentes projets. Jean et moi avons singulièrement perdu agir un copieux dramatique d’aventures en Thaïlande réaction par Richard Grandpierre, qui devait se prendre parmi les un couple de guerres, parmi la jungle. Ça ne s’est pas aventure. Et ensuite on a laissé prendre le date… et le date répare copieusement de choses.
Si Alain Attal ne m’avait pas recommandé “99 francs” en conséquence “Blueberry”, je n’aurais hormis alarme avec oncques bombé.Jan Kounen
Comme sans cesse envers un dramatique illusoire métropolitain au balance dépassant 5 millions d’euros, on a le affection d’un observable gageure ontologique : il faut que ça vente ; sauf, le groupe ne s’en remettra pas. Ressentez-vous cette attirance ?
On a comme même eu un poupon continuation de films de groupe à pâteux balance cette période en France, parmi le Dracula de Luc Besson et Chien 51 de Cédric Jimenez, qui aventure concrètement le flottante de à nous balance. Si à nous remake de L’homme qui rétrécit s’incarnait aventure au poitrine du logement Universal aux Bordereaux-Unis, il aurait plausiblement coûté parmi les 80 millions d’euros… Les responsables d’Universal France ont lu à nous anecdote, ils ont été enthousiastes, ils ont aventure une extrêmement charmante imputation, et moi, j’avoue que j’adore percevoir initialement de mon dramatique le logo du même logement qui a aventure L’homme qui rétrécit de 1957. Oui, il faudrait que ça vente verso entiers ces films, étant donné que, sauf, cette divagation va de bizuth se fermer… Mais j’ai comme même l’avis que le cinémathèque de groupe métropolitain existe avec qu’à mes primeurs.
Pourquoi avez-vous sans cesse également de mal à encadrer vos projets ?
Parce que je ne suis avec quelqu’un parmi ce fonction qui disposé marre de dédicace en lui, je suis sans cesse respectable un peu quand une pomme de terre chaude ! D’un côté, j’ai un agilité assuré, des acteurs qui ont appétit de besogner envers moi… Mais, de l’hétérogène côté, mes films ne font pas marre d’frappas et je suis perçu parmi le principe quand un forgeur qui a sans cesse pilotage à « bidonner » les projets.
Est-ce l’catastrophe de Blueberry qui toi-même pâte plus à la fourrure ?
Oui. Je l’adore, moi, le dramatique. Mais, en conséquence Blueberry, si Alain Attal ne m’avait pas recommandé 99 francs – et si le dramatique n’avait pas été un dédicace –, je n’aurais hormis alarme avec oncques bombé. Avec le date, il sera revalorisé, j’espère. Si L’homme qui rétrécit ne vente pas, ce n’est pas décisif. Je continuerai à agir hétérogène truc que du cinémathèque.
Comme parmi le conventionnel de Jack Arnold, toi-même filmez la estrade symbolique de la rencontre parmi le animateur devenu négligeable et une demodex… Là, on sent qu’en termes de jeu sur les échaliers et les contre-plongées toi-même toi-même êtes régalé…
À Révéler
Le Kangourou du tabatière
Réagir
Pour moi, cette estrade, c’incarnait 20 000 lieues en deçà les mers mouture 2025. L’araignée, c’est le pieuvre monstrueux. Oui, je me suis éclaté : j’avais l’avis de agir ce cinémathèque que j’aimais, du Moby Dick ou du Alien, cependant parmi une mouture absurde, un peu surprenant et, en même date, envers de vraies émotions. En aventure, qu’on ait pu agir ce dramatique parmi le philosophie métropolitain est en soi une badinage. C’est ce qu’on se dit envers Jean : on a aventure à nous dramatique d’aventures.
« L’homme qui rétrécit » de Jan Kounen. Sortie nationale le 22 octobre.
Source: lepoint.fr

Comments are closed.