Déraillement d’un téléphérique à Lisbonne : un ralingue n’accomplissait pas aux standards

L’enquête sur l’choc de téléphérique qui a conte 16 morts survenance septembre à Lisbonne a décidé, lundi 20 octobre, que le ralingue n’accomplissait pas aux standards, et proposé que les trio appareils de la cité restent à l’rémission beaucoup que à eux ordre ne sera pas témoignage.

Dans son fréquentation précurseur, le Bureau d’instruction sur les accidents aériens et ferroviaires (GPIAAF) a cédé que le ralingue fascinant les double cabines du téléphérique de la Gloria à Lisbonne, lequel la déconnexion a encouragé le déraillement égorgeur d’une d’pénétré elles-mêmes, n’accomplissait pas aux standards fixées par son illusionniste Carris, ou “Companhia Carris de Ferro de Lisboa” (CCFL).

“Le câble n’était pas conforme aux spécifications en vigueur à la CCFL afin d’être utilisé pour l’ascenseur de la Gloria”, peut-on ronger parmi ce manuscrit de 35 pages.

En attendant la cahier de son fréquentation ultime, considéré parmi un expectative d’un an postérieurement l’choc, l’exercice a proposé que les disparates ascenseurs de la métropole esgourde restent à l’rémission, dans c’est le cas depuis l’choc du 3 septembre, comme de certifier qu’ils détiennent de systèmes de arrimage des câbles et d’appareils de enrayement “capables d’immobiliser les cabines en cas de rupture du câble”.

Le 3 septembre, une des double cabines de l’allusif “ascenseur de Gloria”, l’un des trio funiculaires historiques de Lisbonne, a dévalé cette rue pentue à toute brusquerie et déraillé vis-à-vis de s’accabler pour un bâtisse, interprète 16 morts et une vingtaine de blessés.

Des doutes sur l’mise en rapport 

Parmi les public décédées – huit public et huit femmes âgés de 36 à 82 ans – se étaient cinq Portugais et onze étrangers : trio Britanniques, double Sud-Coréens, double Canadiens, une Française, un Suisse, un Américain et un Ukrainien.

Le téléphérique de la Gloria, qui siècle de 1914 parmi sa manière régulière, est hybride de double wagons jaunes, pouvant quiconque festoyer 42 public, qui montent et descendent discrétion par un mode de balancier un dénivelé de 45 mètres sur 276 mètres de vaste.

Selon les primitifs éléments d’instruction communiqués par le GPIAAF trio jours postérieurement l’choc, çuila a été encouragé par “la déconnexion du câble entre les deux cabines”, au phase du lieu de arrimage de icelle qui venait de survenir sa dégringolade.

À se référer à pareillementEn images : le déraillement meurtrier du téléphérique de Gloria à Lisbonne

“L’inspection visuelle programmée, réalisée le matin du jour de l’accident, n’a détecté aucune anomalie sur le câble”, avaient lors précisé les enquêteurs.

Mais les points de arrimage du ralingue aux cabines ne sont visibles qu’au données de son rechange, qui doit garder terrain intégraux les double ans. En l’aléa, ce ralingue avait été installé à l’été 2024, a précisé le GPIAAF lundi.

Les enquêteurs du GPIAAF ont en embarrassé favorable parmi à eux fréquentation que les labeurs régulières d’mise en rapport avaient propre été “enregistrées comme exécutées”, hormis qu’ils ont puisque “recueilli des éléments selon lesquels ce registre ne correspond pas aux tâches réalisées effectivement”.

“Bombe à retardement” 

Carris avait jusqu’ici affirmé que les tâches de aide, effectués depuis hétéroclites années par un sous-traitant, avaient continuellement été réalisés parmi les délais.

Les éléments préliminaires du GPIAAF avaient déjà vrai que le voiturier de la habitacle avait propre activé les double systèmes de mors lequel miss dispose, seulement ceux n’réalisaient pas conçus avec coincer le plateau rien l’coadjuteur de l’résultat de balancier.

Dans ce arrière-plan, le assemblée d’instruction a proposé que les disparates ascenseurs de la métropole esgourde restent à l’rémission, dans l’a décidé la hôtel de ville surabondant postérieurement l’choc, comme de certifier qu’ils détiennent de systèmes de arrimage des câbles et de enrayement “capables d’immobiliser les cabines en cas de rupture du câble”.

À ronger pareillementCause de l’choc, procès clément : ce que l’on sait du déraillement d’un téléphérique à Lisbonne

D’après l’maître Carlos Neves, administrateur du séminaire d’génie instinctif de l’Ordre des ingénieurs, le déraillement de septembre a mis à nu “une faille structurelle de sécurité”.

“Ce qui est dramatique, c’est que nous avions une bombe à retardement entre les mains. […] Comment se fait-il qu’un transport en commun ne disposait pas d’un système de sécurité efficace ? C’est, selon moi, la grande question à laquelle il faut répondre”, avait-il dit à l’AFP vis-à-vis de statuer le fréquentation dénudé lundi.

Avec AFP 

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