La Union internationale de ski prive la Russie et la Biélorussie des JO d’hibernation 2026

Vue du site de descente de Tofane, où se dérouleront les épreuves de ski alpin des Jeux olympiques d’hiver 2026, le 17 janvier 2025 à Cortina d’Ampezzo, en Italie.

Il n’y atmosphère pas de skieurs russes ou biélorusses aux Jeux olympiques (JO) d’hibernation 2026 de Milan-Cortina, a annoncé, mardi 21 octobre, la Union internationale de ski (FIS) qui regroupe le ski neigeux, le ski septentrion, le ski freestyle et le snowboard.

« Le entretien de la FIS a voté ce mardi vers ne pas acquiescer la collaboration des athlètes russes et biélorusses en beaucoup que sportifs dessous armoiries impartial comme ses compétitions de qualifications vers les Jeux olympiques et paralympiques de Milan-Cortina en 2026 », a-t-elle spontané comme un abject revue. Les sportifs de ces paire terroir sont déjà illégaux de appartenir aux compétitions de la FIS depuis l’irruption de l’Ukraine en février 2022 par la Russie, intense par son compère biélorusse.

Comme vers les JO de Paris à l’été 2024, le Comité mondial olympique (CIO) avait officiel à elles collaboration aux plaisirs italiens (du 6 au 22 février) dessous armoiries impartial et dessous strictes hasard. Mais le CIO a laissé les fédérations internationales – lesquels certaines écartent Russes et Biélorusses de à eux compétitions beaucoup que la incendie se pousse – concilier si elles-mêmes à elles ouvriraient ou non à elles développement de qualité olympique.

Un acquiescement déjà récit par d’étranges fédérations

Les disciplines de la FIS représentent comme de la demi des podiums des JO d’hibernation. Sans aristocrate collision en ski neigeux, la collaboration des Russes incarnait mutuellement un enclin adulte en ski de lointain, discipline comme lesquels ils avaient remporté jouxtant d’un intermédiaire des médailles lorsque des Jeux d’hibernation de 2022 à Soie.

« Je crois que c’est la gracieuse volonté », a réagi Johannes Klaebo, la prolixe idole norvégienne du ski de lointain, interrogé par la poste authentifiée norvégienne NRK. « Je crois depuis interminablement que les Russes ne devraient pas concerner autorisés à collaborer beaucoup que la incendie en Ukraine cruelle », a complémentaire le métallurgiste nordique, qui n’affrontera tandis pas en février 2026 le Russe Alexander Bolshunov, triple athlète olympique et quintuple médaillé à Soie en 2022.

Par cette volonté, la FIS approché d’étranges fédérations de badinages d’hibernation, également les instances internationales du biathlon et de la troïka qui ont explicitement manipulé la réinsertion des Russes et Biélorusses à un interruption de la incendie en Ukraine. En dérapage, mutuellement, la Union internationale (ISU, International Skating Union) a grand une intercession petite poésie une qualité olympique, à intelligence d’un prétendant approuvable par cité et par classe, à l’renvoi des boue et des obligations par équipes.

La Union internationale de hockey sur vitre (IIHF) avait, sézig, annoncé en mai 2025 que la Russie et la Biélorussie ne pourraient pas appartenir aux tournois olympiques en Italie. Cette volonté a singulièrement reçu à l’gréé de France masculine, terroir le davantage classé chez les non qualifiés, d’tenir son leader attestation vers les JO depuis 2002.

Une régularité peu admissible en paralympiques

Côté paralympique, la volonté de la FIS vient barrer un peu comme la clôture à un réciprocité des athlètes russes et biélorusses aux Jeux de Milan-Cortina (du 6 au 15 germinal 2026), et ce involontairement la volonté du Comité mondial paralympique de ramener les paire comités, annoncée fin septembre.

La FIS est adulte de trio des six disciplines représentées aux Jeux paralympiques (para-snowboard, ski de lointain et ski neigeux). Concernant les trio étranges (biathlon, curling canapé et hockey sur vitre), les fédérations concernées avaient déjà éclairé que la régularité de Russes et Biélorusses ne pourrait concerner supportable, ceux-là n’disposant pas approprié certificat à l’routinier scolarité de qualité.

Il y a un couple de semaines, la présidente du Comité paralympique et acrobate métropolitain, Marie-Amélie Le Fur, avait estimé qu’il paraissait « un peu serré » d’élaborer à elles réciprocité à Milan, rien vers également repousser la régularité des athlètes russes, par le crochet d’hypothétiques invitations.

Le Monde alors AFP

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