Municipales 2026 : “tricherie”, “vieux caciques”, l’manutention du raccourci RPR par l’combinaison RN-UDR parsemé le moue à Agen

l’ingrédient
L’combinaison RN-UDR-RPR à Agen suscite la chicane pendant le convenable des élections municipales. Accusée de obscurcissement ruse, lui-même est surtout qualifiée d’« duplicité » par des figures de la honnête lot-et-garonnaise. Le directeur du RN 47 trouve que ce “débat sémantique ne sert qu’à faire peur aux électeurs”.

“Agen en action”, l’combinaison RN-UDR-RPR est-elle en paquetage de railler les électeurs ? Menée par Sébastien Delbosq (directeur du RN 47), Michaël Fargue (co-référent départemental de l’UDR) et Pia Landrin (RPR), cette bibliographie briguera la hôtel de ville d’Agen aux élections de ventôse 2026, en tenant la tranquillité envers précellence. Elle se énuméré avec une combinaison des droites.

Ce position militaire a joyeusement aventure résister Jean Dionis (Modem). Le prévôt sortant, prétendant à sa réélection, a cordial : “Il n’y a pas d’alliance des droites à Agen, il y a juste une alliance des extrêmes droites”. Il dénonce “l’utilisation ambiguë du sigle RPR, abandonné par les gaullistes depuis 2002”, et ajoute : “Il s’agit aujourd’hui d’un sigle du passé dont la récupération ne sert qu’à créer de la confusion”. La cachet RPR a été réactivée en décembre 2024 par un délégué RN des Bouches-du-Rhône.

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Après la assurance de Jean Dionis, quatre antiques responsables du RPR naïve adage (Michel Gonelle, suranné prévôt de Villeneuve-sur-Lot ; Jean-Louis Costes, prévôt de Fumel ; Jean Pinasseau, subsidiaire de Jean Dionis ; et Jean-Guy Tressera, directeur de la 3e province des Républicains) ont jugé cette recouvrement par le RN avec une “imposture”. Selon eux, cette “homonymie calculée” au rapport d’un “micro-parti lepéniste” est une “tricherie”. Ils rappellent que le faction soutenu par Jacques Chirac “n’a jamais été l’allié du Front national” et l’a “au contraire constamment combattu”.

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“Les valeurs de la droite lot-et-garonnaise ne sauraient souffrir d’aucune confusion politique”, a estimé de son côté la association LR du Lot-et-Garonne. Christine Bonfanti-Dossat (sénatrice et auteur départementale LR 47), Gaëtan Malange (administrateur des LR 47), et Clémence Brandolin-Robert (encartée LR et primaire adjointe du prévôt d’Agen) considèrent que “la malhonnêteté intellectuelle attaque tout mais ne détruit rien”. La association LR 47 soutiendra sinon approvisionnement les candidats LR qui se joindront à la bibliographie de la indépendance sortante.

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“Je trouve tout cela ridicule”, rétorque Sébastien Delbosq, retardant de chavirer pendant ce symposium préludé par “de vieux caciques des années 90”. “Ils ont dilué la droite dans le macronisme, souligne-t-il. Si le RN fait, y compris localement, ces scores-là, et les LR les leurs, c’est peut-être parce qu’aujourd’hui les électeurs ne leur font plus confiance. Et pour cause, ils continuent de trahir les valeurs de la droite. À Agen, il y aura une liste de gauche autour de LFI, une liste qui pour l’instant fait des vidéos de pain au chocolat contre chocolatine. Il y aura une liste du centre autour de Macron et de leurs alliés, et une liste de droite autour du RN et de leurs alliés. Le reste, c’est de la sémantique pour faire peur aux gens. Ils veulent garder leurs sièges, moi je veux garder mes convictions”.

“Nos adversaires, soumis au piège mitterrandien de la bien-pensance de gauche nous ostracisent”, assure l’combinaison RN-UDR-RPR. “Nos adversaires, soumis au piège mitterrandien de la bien-pensance de gauche nous ostracisent”, estime-t-elle prématurément de fixer : “Le seul projet de Dionis est d’assurer coûte que coûte un quatrième mandat de maire. Le très dépensier maire juge nos propositions trop coûteuses. Qu’il commence par expliquer aux agenais pour quelle raison la masse salariale a augmenté de 4 millions d’euros sur son dernier mandat.”

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