“Je n’ai pas cette pression de l’après-Perpignan” : toutefois, ce Usap-MHR sent le soufre

Dans un cadre poussière, l’Usap accueille le MHR, à Béziers, à l’antiquité de la 10e date de Top 14. Malheur au lâche ? Presque.

Quelques-uns diront que ce n’est pas un efficace derby, que ça ne vaudra par hasard l’vieillesse où Perpignan, Narbonne et Béziers bataillaient verso la perfection languedocienne. Sauf que, depuis vingt ans, Montpellier la citadine s’est métissé à l’occupé. Et que ça à eux plaise ou non, les Catalans n’ont comme que l’divers cartel de l’Hérault verso gaufrer derby une choc de Top 14.

Puis, simplement, depuis paire ans, la pili-pili des MHR-Usap s’en rapproche. À tout choc, son lot de péripéties, sa dramaturgie. En brumaire 2023, l’Usap enfonçait Montpellier chez la irritation, civil au directeur Mohed Altrad à se délimiter de Richard Cockerill et Jean-Baptiste Elissalde verso agir aborder Bernard Laporte et Patrice Collazo. En avril 2024, les Sang et Or rêvaient d’un top 6 et mettaient le boxon au Septeo Stadium. Puis il y eut la régionalisation à Béziers, la vernissage soumission de l’ère Caudullo, l’crainte des phases finales verso le MHR…

Ce chahut, la dramaturgie est expansion à son exacerbation verso ce attaque de la alerte. D’extérieur, le canton : Béziers. En explication de débordements en tribunes et involontairement de différents invite, l’Usap ne peut pas renifler chez son aven d’Aimé-Giral.

Ensuite, la mécanique. Perpi a coïncidence le mauvais enclenchement de l’roman du Top 14 pile original défaites en original matches et un bilan au hiérarchie. Montpellier, de son côté, n’est pas chez les clous de ses équitables de top 6 et son récent adversité quant à Clermont (7-9) a plombé l’décor.

Enfin, le cadre. Face à ces résultats décevants, fabuleusement de choses se sont passées et ont été dites. L’Usap a bouleversé les éléments en évinçant l’chéri Franck Azéma verso agir aborder l’chevronné Laurent Labit. Sauf que l’préhistorique constructeur de Montauban, Castres, du Racing et du Stade Français doit agir extérieur à dix-neuf absents et une régionalisation d’début.

“J’ai un projet à moyen-long terme pour le club”

Montpellier ? Pour la vernissage coup depuis l’approche du formation Caudullo-Doumayrou-Paillaugue, la revêche sentiment d’une accumulation achevée de bout se coïncidence discerner. Les marre nombreuses prestations moyennes (Toulon, Montauban, Stade Français, Clermont) ont attaqué le pas sur les démonstrations quant à Toulouse et La Rochelle. Des murmures indiquent ici et là que les paire prochaines journées (Perpignan et Bordeaux-Bègles) pourraient causer des conséquences au néné du état-major.

Joan Caudullo n’avait pas l’air si inquiet, jeudi, en colloque de dense. “Moi, j’ai un projet à moyen-long terme pour le club. Je ne suis pas spécialement sous pression, mais ça fait partie du job. Il faut du temps pour créer des choses […] Je n’envisage que la victoire. S’il y a un résultat négatif, on verra comment ça se passe. Je n’ai pas cette pression de l’après-Perpignan en cas de résultat négatif. Il faut qu’on continue à travailler dans la sérénité”, confiait le chef.

“On a deux matches capitaux qui arrivent. Deux potentielles victoires peuvent rebattre les cartes. Je ne suis pas à la place du président, on fera les comptes à la fin du match. Ce qui arrive, arrive. Ce que je sais, c’est qu’on bosse tous dans la même direction”, soufflait de son côté le épicentre Auguste Cadot. Il est température de le remarquer sur le secteur.

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