La estrade citoyenne lisloise et la Ligue des capacités de l’gars du Gers lancent un convocation frontispice aux défis sociaux, environnementaux et démocratiques actuels à la soirée des élections municipales de 2026. Ils évoquent le travailleur pitance (“Nous appelons à construire une commune tournée vers le bien-vivre, le bien commun et l’élargissement de la participation citoyenne. Les municipales de 2026 doivent permettre de débattre et de porter un projet réellement solidaire, humaniste, écologique et démocratique”), souhaitent une commune “qui épanouit” à cause “faire de la culture et de l’éducation des outils d’émancipation, créer un office intercommunal de la culture et de l’éducation populaire, garantir l’accès à la culture, soutenir les associations et agir contre toutes les discriminations”. Selon eux, L’Isle-Jourdain doit marcher une “commune de la paix”.
Ils veulent “une ville qui protège” et proposent “d’intégrer le dispositif “Territoires vide sans-emploi de oblongue balancement”, garantir l’accès aux besoins essentiels (logement, santé, mobilité, sécurité) et renforcer les services publics, notamment médicaux, pour les jeunes comme pour les aînés”.
Leur convocation parle aussi de démocratie et ils souhaitent “créer un référendum d’initiative citoyenne municipal, un conseil citoyen doté de moyens réels, des comités de quartier actifs et redonner à l’intercommunalité un rôle coopératif au service des habitants”.
Ecologie
Enfin, ils parlent encore anthropologie et veulent “placer la transition écologique au cœur de toutes les politiques locales, renforcer les régies publiques (eau, énergie, transport, déchets), soutenir les mobilités douces, améliorer la ligne Auch-Toulouse, développer une régie agricole locale, instaurer une “férule herbeuse” communale et proposer des repas scolaires 100 % bio et locaux”.
Au bornage de cet convocation, ils invitent ceux-ci qui le souhaitent, “ceux qui veulent reprendre la main sur l’avenir de leur commun”, à assister “à la construction collective du projet municipal 2026. Ce projet appartient à toutes et tous : rassembler, co-construire et mettre en œuvre des mesures concrètes dès la première année du mandat […]. Il ne s’agit pas d’un programme figé mais d’un point de départ”.
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