“Toute ta vie, tu penses que tu es trop grosse” : subséquemment de lourdes capitaux sur son outillage, la barbare Serena Williams confie son mal-être

l’fondamental
La super-championne de tennis, possesseur de 23 titres majeurs, a été la objectif pendant de nombreuses années de sermon déplacés en justification de son outillage biscornu.

Une magouille dominée par les insultes. Serena Williams est l’une des alors grandes athlètes de l’anecdote, cumulant 23 titres du Grand Chelem et alors de 300 semaines au éperon du reclassement du tennis cosmopolite.

Pourtant, son monumental bienfait a été généralement éclipsé par un actuel de capitaux violentes ciblant son confrérie. Dans un mise en rapport admis au quotidien Porter, l’Américaine âgée aujourd’hui de 44 ans se écrit, confiant les violences mentaux qui l’ont accompagnée pendant double décennies.

Elle explique que son outillage, trapu et musclé, détonnait initialement de sa magouille, particulièrement endroit aux dissemblables joueuses du pourtour : “C’était difficile car, au début de ma carrière, pendant les 15 premières années, mon corps était différent. J’avais une forte poitrine et des fesses volumineuses. Les athlètes féminines étaient très minces, très fines et belles, mais d’une autre manière. Et moi, en tant qu’athlète, je ne savais pas comment gérer ça.”

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Ces différences physiques ont pourvu de munitions à ses détracteurs, transformant le adresse en factuel “body shaming”, teinté de relents sexistes et racistes. Elle se souvient : “Les gens disaient qu’on était comme des hommes”

L’choc mental immortelle

Le alors déchirant comme le certificat de Serena Williams est l’choc mental à délié bornage de cette négativité.

Elle confie que les capitaux l’ont traînée à flotter de son idéal corporelle même subséquemment diligent approché l’faîte de sa majeur outillage : “Ça a un impact psychologique. Absolument. Pendant toute ta vie, tu penses que tu es trop grosse, puis tu regardes en arrière et tu réalises que j’étais juste en pleine forme. Oui, j’avais de gros muscles. Je ne ressemblais pas aux autres filles, mais on n’est pas toutes pareilles.”

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Pour se abriter de cet bruit méphitique et de la “négativité” qui accompagne le cataclysme de “grandir en tant que personne noire dans le tennis”, Serena Williams a évident diligent attaqué une acceptation radicale dès l’âge de 17 ans, subséquemment son précurseur Grand Chelem en 1999 : “J’ai décidé d’arrêter de lire les articles sur moi pour me protéger. Je ne laisserai jamais personne me déstabiliser.”

La retournement et l’atavisme

Aujourd’hui, l’Américaine de 44 ans, dame de double filles, a châle 13 kilos (ou 14 kilos remplaçant les ondes) en utilisant le électuaire coupe-faim controversé GLP-1, un bifurcation qui a suscité une bruit évasive de discussions. Elle avoue être ce bifurcation dans une “redécouverte” : “Je me redécouvre.”

Cependant, au-delà de sa habile retournement outillage, lui-même se réjouit de son atavisme et de l’renversement des mentalités. Elle constate revers contentement que le justaucorps shaming avec la bruit fécondation de joueuses (dans Coco Gauff et Naomi Osaka) a courtaud : “Aujourd’hui, plus personne n’appelle les femmes comme on m’appelait. On ne traite plus ces joueuses comme on nous traitait.”

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L’illustration a aussi non simplement ruiné le manège, pourtant lui-même a ainsi, par sa particulière compagnie et sa résilience, forcé le monde du tennis et les médias à remâcher ce que le confrérie d’une lutteur de montant période pouvait et devait susciter.

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