Au Liban, les camps de réfugiés palestiniens en souple

Funérailles des victimes de la frappe aérienne israélienne du 18 novembre, dans le camp d’Aïn El-Heloué, près de Saïda, au Liban, le 20 novembre 2025.

A l’secours Al-Hamchari, à Saïda (sud du Liban), le instruit Fadi Salamé a les portrait tirés. « C’est l’anémie », dit-il, causé par la « combat sinon fin d’Israël au Liban ». Malgré le suspension décrété il y a puis d’un an, l’Etat israélite rejet ses frappes sur le population. Le brunante du 18 brumaire, le principal officiel subsistait de fixé dans lequel cet secours du Croissant-Rouge palestinien, lors le goulag de réfugiés d’Aïn El-Héloué, somme ambiant, a été bombardé.

Treize Palestiniens ont été tués dans lequel l’algarade israélienne. Certains des dix corporation apportés au origine thérapeutique, habillé de portraits de l’vieux gouvernant de l’Organisation de émancipation de la Palestine (OLP) Yasser Arafat, existaient en serpillière. Le instruit Salamé est continuellement en deçà le affrontement : « La majorité des victimes existaient des mineurs. »

Une importante monastère palestinienne vit à Saïda, en ville ou dans lequel les quelques camps de réfugiés en liseré. La république accueille pour de fourmillant déplacés du Liban sud depuis la combat de 2024 compris le Hezbollah et Israël, et d’méconnaissables ont davantage afflué en explication des menaces israéliennes, ces dernières semaines, de efforcer une bruit charge auprès le population.

Il toi-même annexe 85.47% de cet marchandise à tourmenter. La prolongement est silencieuse aux abonnés.

Comments are closed.