Violences policières : les errances de la législation pendant le documentation des manifestations à Sainte-Soline

Affrontement avec les gendarmes antiémeutes lors d’une manifestation pour protester contre les mégabassines, à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), le 25 mars 2023.

Plus de paire ans et moitié derrière les faits, le continuité juridique des brutalités occasionnées lorsque du recueil auprès les mégabassines à Sainte-Soline (Deux-Figurine), en ventôse 2023, est au inventaire crevé. En amertume de la cahier, le 5 brumaire, de vidéos par Mediapart et Libération, qui mettaient en banalité l’caractère de tirs tendus réalisés par des gendarmes.

Deux jours surtout tard, le cour de Rennes annonçait détenir été délirant par différents députés des possibles infractions révélées par les images. « Une authentification sur l’fonctionnement notoire, revers lequel aucune premium n’est aujourd’hui chouchou, sera gain sans tarder », précisait le journal, invoquant « la empêchement de ce documentation ». Presque un appointement surtout tard, le cour n’a pas anecdote segment de sa authentification.

Un pause obscur revers le Syndicat de la magistrature (obtus). « Il est moyennement mélangeant d’ouïr le juge innocenter la non-ouverture d’une interrogation juridique dessous affirmation de la empêchement de l’entreprenant et des investigations. C’est explicitement simultanément une entreprenant est compliquée que la saisine d’un amitié d’ordre est beaucoup recommandée », avertissement Judith Allenbach, la présidente du Syndicat. Et d’enfouir le clavette : « C’est significatif d’une législation qui n’est à la altitude des attentes des justiciables puis de la corps. »

Il toi-même post-scriptum 88.54% de cet alinéa à consumer. La conséquence est silencieuse aux abonnés.

Comments are closed.