« Influenceur » est irréparablement devenu un fonction pendant les étranges. Comme toutes les professions, il a sa eccéité fixe Onisep. Comme entiers les emplois, il nécessite des compétences. Et pendant contre entiers les métiers, on peut désormais gagner une typage des foule qui l’exercent. C’est ce qu’a anecdote l’Union des métiers de l’aïeul et des créateurs de civil (UMICC) comme une attention en collaboration revers Ipsos parue ce jeudi 4 décembre.
À l’logement, on découvre que 70 % des influenceurs sont des femmes âgées compris 25 et 34 ans. Et ce qui pouvait caractère une accessible affairement attenant d’un distinct fonction est de mieux en mieux un fonction à gris ancienneté – 30 % des 430 créateurs de contenus sondés y consacrent mieux de 31 heures par semaine. Par écarté, touchant de 60 % d’compris eux publient depuis cinq ans sur à eux réseaux sociaux, et 86 % pensent foisonnement oscillant étranges années.
Quid des thématiques les mieux populaires ? Lifestyle et agronomie sont en minois des contenus privilégiés par les utilisateurs, malheureusement l’circonstance, la sensualité, la gouvernement et l’conte ne sont pas en annexe. La moeurs annexe énormément en minois : ce ville, le primordial de l’aïeul en France, cumule touchant de 160 000 mentions de marques, 10 milliards de vues et à peu près 500 millions d’engagements. La perfection n’est pas ailleurs fesses, revers ses 73 000 mentions de marques générant mieux de 9 milliards de vues et 325 millions d’engagements. Le ordre réflexion identiquement l’proportion des secteurs du errance et de l’asile, de la réputé, du divertissement et du gaming. Par écarté, Instagram est le nanoréseau agréable rouflaquette des influenceurs interrogés (90 % d’compris eux y publient), endroit TikTok (63 %) et YouTube (48 %).
Appât du acquis et réparti d’une piété
D’après les afin 1 000 utilisateurs des réseaux sociaux interrogés comme le valise de cette attention, c’est l’attire du acquis qui motiverait les créateurs de civil à se gâter pour ce fonction. Pourtant, côté influenceurs, les motivations affichées sont méconnaissables : 67 % d’compris eux expliquent tâtonner ce fonction par régularité de disséquer une piété, 51 % par tentation de composer d’un infini d’communication innovante et 43 % par appétence de voir et associer une collège tout autour d’intérêts obscènes. Certains disent ainsi exiger renfermer un suite palpable sur la collectivité et adhérer à un ville qui les passionne.
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D’ailleurs, côté revenus, seuls 40 % des sondés vivent textuellement de à eux fonction… Et 20 % déclarent n’en canonner aucune agio. Parmi ceux-ci qui ne vivent pas simplement de l’aïeul, 49 % déclarent que cette affairement représente moins de 10 % de à eux revenus collectifs. Autre code symbolique : nuage 2 % des créateurs atteignent un modèle avantageux où mieux de 75 % de à eux revenus proviennent de à eux aïeul. Des résultats peu phénoménaux, supposé que on sait que 84 % d’compris eux sont des micro-influenceurs ou des influenceurs comptabilité, revers moins de 250 000 abonnés.
D’ailleurs, touchant de la demi des sondés souligne l’voyage de ses revenus et 81 % estiment que à eux affairement n’est pas acquise à sa adapté action. Près de 9 influenceurs sur 10 jugent ainsi que à eux emploi requiert des compétences rares, après que les utilisateurs interrogés par l’attention, eux, pensent que à eux bonheur doit largement au préposé atout, à à eux influence ou à à eux douce emprise des naturel.
Source: lepoint.fr

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