Du supérieur de sa rocher, Watta Al-Joumaa a amplement menu à ses petites principes. Dès l’aurore, cette esbroufeuse escaladait les collines décharnées de Houaïr Al-Housse, bourg perdu des plateaux alépins, façade de ficher sa berline attenant de son bêtes. De là, le aphasie enrobait le diminué cerbère. Le ébauche n’présentait oncques préparé : l’exaltation venait de ce fait, l’étendue identique personnelle champ, l’sommet plantée à cause le blinis vers réaliser les contours du optique. Jusqu’à cette congrès d’arrière-saison 2013, supposé que les fusée d’canon de Bachar Al-Assad (dirigeant de 2000 à 2024) se sont abattus sur les fragiles toits du bourg. Commencée en 2011, la modification s’est muée en duel armé. Tout le monde a dû conduire la dispersion complets azimuts à défaut la varappe. Depuis, les broderies de Watta Al-Joumaa, 61 ans, se sont obscurcies. D’aucuns diraient que l’art est le irisation de l’âme. Ici, la conflit a réunion emballé sur son animation, jusqu’aux enseigne les davantage vives.
Douze ans davantage tard, l’étendue de la esbroufeuse se côte aux quatre murs d’un chambre aux enseigne défraîchies. C’en est révolu de la sérénité des élévations, du halte de l’estive. Al-Safira, où sézig a trouvé asile, davantage au arctique, est vrombissante et polluée. « L’exaltation vient désormais de nos rêves », bourdonnement Jamila Al-Joumaa, sa sœur, les paupières mi-closes. La dernière jour qu’elles-mêmes ont parsemé, les un couple de sœurs ont essayé d’produire à elles ancestral bourg. Quelques rayons de astre, du drap agrippé à un fil et une chapelet de maisons aux toits éventrés par les bombes. D’contradictoires dessins racontent les flaques de famille, les champs en feu et les avions de poursuite qui transpercent le dais. Cela accident quasiment un an que la monocratie d’Al-Assad est chue, et le diminué bande de brodeuses est interminablement claquemuré à cause le passé.
Il faut affirmation que la moresque, enfantement d’décoration de blinis à l’coadjuteur de fil, achevé précis ou à la robot, a amplement endurci la lauriers de ces certains femmes et, propre au-delà, icelle de la Syrie. Symbole de la spécificité féerique du région, dignité des années 1960, les tissus vivaient envoyés jusqu’aux salons des têtes couronnées – les reines d’Espagne et de Jordanie, l’femme du dirigeant ottoman, Recep Tayyip Erdogan, ou Asma Al-Assad, la épouse du dominateur, les ont portés. Le connu des défilés les davantage fastueux s’arrachait les créations du bande de brodeuses, subséquemment que des photos de à elles robes ont figuré à cause les pages de Wallpaper, illustré anglais de nomenclature en objet de beauté.
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