Stade Toulousain : “Pourquoi j’ai lâché Pita Ahki ?” Les bourrèlement d’Ugo Mola ensuite le appareil du sportif acteur et les dommages au épicentre

Voilà proche de une paire de semaines que Pita Ahki a réglementairement quitté le Stade Toulousain, ensuite sept années de délicieux et probes tertiaire où l’oecuménique tongien émanation singulièrement remporté une paire de Coupes d’Europe et cinq Boucliers de Brennus pile les “rouge et noir”. À 33 ans, le originaire d’Auckland (Nouvelle-Zélande) s’apprête à reconquérir les Blues, l’un de ses débutants clubs.

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L’gars aux 159 apparitions pile le Stade Toulousain a disputé son final épreuve pile Toulouse le 29 brumaire final devant au Racing 92, O.K. une paire de jours devanture que Juan Cruz Mallia n’officialise sa fin temps en conception d’une anéantissement des ligaments croisés. Ajoutez à ceci les protocoles sentiment de Santiago Chocobares et Pierre-Louis Barassi et vous-même obtenez une nervure de trois-quarts proportionnellement modifiée au sujet de aux dernières semaines.

“C’est multiplié par 2, 3, 4, 5, 6…”

“Il y a la gestion voulue et la gestion subie. Qu’on arrive à anticiper, c’est toujours très bien, mais quand vous lâchez un Pita Ahki, puis que dans la foulée vous avez trois blessures majeures au centre, vous vous dîtes : ‘pourquoi j’ai lâché Pita ?'” a lancé Ugo Mola ce vendredi en conciliabule de épais, à la garde de la correspondance pour Glasgow (lendemain, 21h00 en Écosse).

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“C’était la gestion souhaitée, puis celle subie… On essaye de garder un niveau constant tout en ménageant nos forces vives. Nos internationaux sont entre deux compétitions, on sait qu’il y a huit semaines très importantes pour le club. Il faut qu’on arrive à gérer tout ça. C’est valable pour tout le monde, sauf que nous c’est multiplié par 2, 3, 4, 5, 6” a prolongé le commander des “rouge et noir”. Celui-ci pourra simplement calculer sur un Ange Capuozzo qui en a aussi inférieurement le terrassé.