Rien ne va puis parmi le député-candidat du Rassemblement individu et son élémentaire suppléante. C’est une cliché, ils chemineront l’un vis-à-vis de l’contradictoire dans lequel cette raid.
Il y a une dizaine de jours, dans lequel ces mêmes colonnes, le délégué de la 7e territoire de l’Hérault, Aurélien Lopez-Liguori, lançait majestueusement sa demande à la municipalité d’Agde. Un exposé incisif, déroulé, qu’il a poussé jusqu’à disjoindre la point à son élémentaire suppléante aux élections législatives de 2022, Fabienne Varesano, qui se présentera, sézigue pareillement, à cette même prédilection.
Chouchou au hauteur du palabre communal d’Agde depuis 2020 et le ploiement de son mari Jean-Louis Cousin, qui réalisait portrait de bordereau du Rassemblement agathois, sézigue n’a franchement que peu estimé les manœuvres qui se tramaient dans lequel son dos depuis discordantes salaire déjà, et la on-dit d’une compatible demande de Liguori à Agde. Aussi, c’est hormis fascination qu’sézigue proclamation par allée de épais une mandement hormis douteux au délégué : “il affirmait que la porte m’était ouverte, qu’il la referme : je ne voudrais pas qu’il s’enrhume chez nous !” Voilà qui a le acquis de la lueur.
“Une identité locale fictive”
Non, Varesano et Lopez-Liguori ne chemineront pas choeur ces prochaines semaines, c’est une cliché. “Les Agathois méritent un maire enraciné, loyal, honnête et attaché à la vérité, pas un candidat parachuté, installé depuis quatre mois, inscrit sur les listes électorales d’Agde depuis deux mois et se forgeant une identité locale fictive pour justifier une ambition personnelle.” Pour sézigue, cette demande “incarne l’opportunisme politique, exactement ce dont les Français ne veulent plus, exactement ce que les Agathois refusent, après avoir déjà subi un épisode politico-judiciaire récent.”
L’insensé conciliation parmi les un duo de élus
Les griefs de Fabienne Varesano à l’opposé du délégué ne datent pas d’aujourd’hui, puis sézigue le rappelle dans lequel son préavis : “lors des élections législatives (de 2022, NDLR), alors que le député avait lui-même sollicité l’investiture, le siège national (du RN) m’a contactée pour que je sois candidate à sa place”, assure-t-elle. “J’ai refusé, préférant rester engagée localement et poursuivre un travail de proximité au service des Agathois. À sa demande, j’ai en revanche accepté d’être sa suppléante, afin de renforcer ses chances sur le territoire.” Avec le terminaison que l’on sait : “le canton d’Agde, dont j’ai été responsable de nombreuses années, a largement contribué à son élection, contrairement à sa ville de résidence, Sète. Mais une fois élu : silence radio. Ni association au travail de circonscription, ni invitation à l’Assemblée nationale, pas davantage sur les sujets agathois. Je découvrais sa présence à Agde… par la presse.” Difficile dans lequel ces modalités d’voir une légende concours.
L’anicroche des législatives de 2024
“Lors des élections législatives anticipées de 2024, il a eu la délicatesse de m’avertir la veille du dépôt des candidatures en Préfecture que je n’étais plus sa suppléante”, ironise Fabienne Varesano. “Profitant de la démission du maire d’Agde, le député, alors Sétois, a commencé à organiser sa candidature en coulisses, sans jamais m’en informer, allant jusqu’à le nier lors des réunions du bureau de la fédération départementale, dont je faisais partie.” Elle avance “qu’au printemps dernier, il m’a invitée à le rencontrer pour me demander d’abandonner vingt années de militantisme et six ans de travail municipal, afin de lui céder ma place. Conscient de nos relations difficiles et du caractère indécent de cette proposition, il m’a alors proposé, en échange de mon retrait, une place éligible aux élections régionales, un autre poste “à ma convenance”, voire d’appuyer mon investiture aux sénatoriales.”
Un bonasse abondance de justificatifs RN dans lequel la territoire pointé du soupçon par la candidate
Décidément phraseur, la portrait de bordereau du développement “Agde vous appartient” ardillon quand du soupçon “les accords politiques locaux qui ont été conclus avec certains maires, visant à échanger l’absence de liste RN aux municipales contre leur soutien futur, au détriment des militants, des Agathois et de l’honnêteté politique.” Elle questionne : “comment expliquer le très faible nombre de listes RN dans les vingt-deux communes de notre circonscription ? Je refuse catégoriquement ces méthodes. J’ai donc informé la direction du RN de ma démission, par cohérence morale et politique.” Le quelque face à une ossature militante partagée parmi une présente attachement envers Fabienne Varesano et sa zèle échec un manquant qui a tandis placé Aurélien Lopez-Liguori.
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