Le 17 décembre 2005, le rugby hexagonal pleurait la crevé de l’une de ses principalement grandes figures, Jacques Fouroux. Vingt ans subséquemment, le “Petit Caporal” entrave un relique constant parmi ceux-ci qui l’ont côtoyé. Témoignages.
On historique ce mercredi 17 décembre les vingt ans de la effacement du principalement historique représentant du rugby auscitain et gersois, Jacques Fouroux, consterné par une colère cardiaque à l’âge de 58 ans. L’aubaine verso ceux-ci qui ont partagé sa vie de narrer le ludique, l’organisateur et l’individu d’dérogation qu’il a été et annexe plus parmi la récit ordinaire, avoir au-delà des frontières du Gers.
Le ludique

Jean-Pierre Rives : “Jacques, c’était formidable, exceptionnel, c’était une anecdote toutes les cinq minutes. Tout était remarquable chez lui. Sur le terrain, il était partout. C’était un géant du jeu. C’était notre leader. C’est tellement incroyable que je ne sais pas comment le raconter. Rien ne lui échappait. Il était partout, il s’occupait de tout et de tout le monde. C’était sa passion. Ça allait loin, parce qu’il essayait de penser comme vous, de savoir ce que vous alliez faire. Je n’en ai pas rencontré d’autres comme ça. C’était un personnage unique. Le rugby, ce n’était pas le plus important. On aurait essayé de gravir une montagne ensemble, c’était pareil. Jacques était un exemple. Il a marqué beaucoup d’entre nous. Quand je parle des amis, j’ai toujours du mal”.
L’organisateur

Pierre Berbizier : “L’une de ses qualités était sa force de persuasion. Lors de la Coupe du monde 1987, je me blesse à la cuisse en quart de finale contre les Fidjiens. Le docteur m’annonce que la Coupe du monde est terminée pour moi. J’étais avec les béquilles, à l’extérieur du groupe. Un soir, juste avant le repas, j’étais au bar de l’hôtel et je me permets d’arrêter Jacques Fouroux, qui sortait d’une conférence de presse assez houleuse. J’étais l’un des rares à le vouvoyer. Je lui dis : Jacques, il faut arrêter avec l’extérieur, les journalistes. Il faut revenir à l’intérieur, l’équipe est forte. Et là, il me répond du tac au tac : à une condition, c’est que tu remontes sur le navire. Il s’en va manger et me laisse là comme ça. Derrière, je vais voir le kiné. Le lendemain, je suis sur le terrain d’entraînement. Grâce à cela, j’ai pu jouer une demi-finale de Coupe du monde et une finale que je n’aurais jamais dû jouer. Voilà en résumé Jacques Fouroux. J’ai eu deux mentors dans ma carrière : Robert Bru du Stade Toulousain et Jacques Fouroux en équipe de France. Ces deux personnes parlaient différemment du rugby mais en avaient la même vision”.
L’individu

Jacques Brunel : “Je l’ai côtoyé pendant 35 ans. J’ai pu voir toute son évolution comme joueur, entraîneur, dirigeant… J’ai vu à travers toutes ces années un personnage extraordinaire, quelqu’un qui a une capacité d’adaptation, d’anticipation, de séduction au-delà du commun des mortels. Il avait cette qualité de fédérer une équipe, un groupe, des joueurs autour de lui. Il avait aussi cette capacité d’anticipation, notamment quand il est passé du XV au XIII. Il a été un précurseur en créant les franchises qui préfiguraient celles des Dragons Catalans aujourd’hui. En 1995, il a fait un match de XIII à Auch au cours duquel il a fait venir un orchestre et des animations autour du stade. On a pu le revoir quelques années plus tard avec Max Guazzini (NDLR : président du Stade Français) dans des dimensions différentes. Aujourd’hui, c’est devenu tout à fait commun. Pareil pour les maillots : il me disait qu’il fallait qu’ils soient éclatants, que la jeunesse se reconnaisse dedans, qu’il fallait changer ces vieux trucs en coton. Tous les gens qui l’ont connu, tous les joueurs qu’il a eus l’ont adoré. C’était un garçon très attachant, qui avait une force de persuasion, qui était capable d’être à la fois strict et volubile.”
La bronze de Jacques Fouroux dévoilée chahut
Les passants peuvent déjà la confer emballée. Certains friand s’en sont même un peu éperdument approchés, au conclusion d’stimuler les cénozoïque techniques à la renforcer de barrières en attendant son étrenne. Implantée ce mardi 16 décembre à Auch, à l’équerre de la rue Dessoles et de la rue Salle Neuve, en dominant des escaliers, la bronze de Jacques Fouroux sera en conséquence dévoilée chahut 20 décembre à 11 heures.

Cette gala d’fixation sera effectuée en existence des abats du négociation d’chemin du Fonds de attribution “Gascons d’honneur”, qui a financé la façonnage de l’œuvre, et du bailli d’Auch Christian Laprébende. Ce données sera éclairé de la visa de la commandite de la donation de la bronze par le Fonds de attribution à la état d’Auch.
Une jour d’étrenne festive émanation bâtiment au jeunesse à l’fantaisie de la origine Fouroux, en affection alors la hôtel de ville.

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