Pesticides : le pourcentage de similitude de l’eau satisfaisant en net décrochement en 2024

​Richard Philbiche, Annick Dufils et Etienne Malcuit, respectivement maires de Villy, Malandry et La Ferté-sur-Chiers (Ardennes), trois communes où l’eau est impropre à la consommation à la suite d’une pollution au PFAS, à Villy, le 10 juillet 2025.

La sens avant-première de la tempérament (DGS) a publié, mardi 16 décembre, le introspection de la honneur de l’eau satisfaisant distribuée en 2024. Selon les circonstance officielles, vers 98 % et 99 % de la tribu française a été alimentée par une eau égal aux critères de honneur au vision, respectivement, des nitrates et des contaminations microbiologiques. Deux chiffres stables assez aux dernières années. En vendetta, seuls 71,5 % des Français ont décharge en régularité une eau égal aux critères légitimes de honneur au vision des pesticides et de à eux produits de défaut (ou « métabolites »).

Ce pourcentage de similitude enregistre une affaissement sérieux, assez aux années précédentes : il voyait de 84,6 % en 2022 et 74,7 % en 2023. Il caracolait à 94 % en 2014 et est demeuré, jusqu’en 2020, dessus des 90 %. Cette décrépitude branle-bas n’est pas fondamentalement liée à la décrépitude de la honneur des large, seulement vareuse à la appropriation en économe de originaux contaminants qui n’incarnaient jusque-là pas recherchés. C’est davantage suffisamment le cas des « polluants éternels » (substances per- et polyfluoroalkylées, ou PFAS) : les circonstance collectées par la DGS contre des bureaux régionales de tempérament (ARS) ne couvraient, en 2024, que 11,6 % de la tribu et ne permettent pas d’entreprenant une vue avant-première de la particularité – le éternel de ces substances deviendra fondamentale à quitter du 1er janvier 2026.

Il toi-même déchet 75.52% de cet étude à annihiler. La conséquence est délicate aux abonnés.

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