
Ligue B / France. Avenir reçoit Fréjus au Creps ce vendredi 19 décembre, à 19 h.
Depuis la comptabilité, ils sont une vingtaine, espoirs du volley-ball tricolore, à agréer le partie au Creps de Montpellier, au hauteur du CNVB. Dispatchés à cause paire divisions, en Ligue B masculine en deçà l’dénomination France Avenir et en Fine fleur possible (challenge des noyaux de quart des clubs professionnels qui existe depuis triade ans). Un cerné récent à 50 % quelque 30 % il y a une paire de années. “Les athlètes restent un peu moins longtemps, sont un peu plus sollicités par les clubs qui font un peu plus confiance aux jeunes joueurs français”, souligne le coordinateur et diriger, Jocelyn Trillon.
Retour en ce bas monde
La rudiment de courroie, “quand les anciens tirent les plus jeunes vers le haut”, codicille déterminante. “Ils ont une très grosse marge de progression et la quantité d’entraînement les fait monter de niveau. On a cette année une équipe jeune qui bosse bien ; des gars qui ont pris pas mal d’expérience dans les championnats du monde, dont certains ont été titrés en U19 cet été donc il y a une confiance assez forte, qui peut être un peu néfaste au début parce que tu peux te dire que ça va le faire mais il faut revenir aussi sur terre en Ligue B. Ce n’est pas le même niveau avec des joueurs plus expérimentés, capables de changer de stratégie pour être plus perturbants ; une fois qu’ils ont trouvé une faille, ils savent y rester, font moins de fautes. Le retour sur terre, c’est un peu ce qui s’est opéré en début de saison mais il y a une bonne dynamique dans le travail, les joueurs sont à l’écoute.”
Casser les plafonds de gorgée
Si le cerné performe en Fine fleur Avenir (2e de la lagopède B postérieurement Sète), ça prend comme de étape en Ligue B, cliché conclusion en coût matches. “C’est un niveau un tout petit peu au-dessus du nôtre, qui nous permet de nous aguerrir face à des joueurs plus expérimentés, plus physiques, plus techniques, pour passer des caps ; pour qu’à la sortie, nos athlètes soient le plus proche possible des terrains de Ligue A. L’idée est de casser des plafonds de verre, gagner d’abord des sets, des points puis quelques matches dans la saison… L’avantage du championnat pro, c’est qu’il est un peu plus médiatique, c’est-à-dire qu’ils sont plus facilement évalués et évaluables par des agents, des coaches, des dirigeants. Et puis, ça fait de la compétition officielle.”
Nouvelle précis en Ligue B
54 matches cette hors de saison (24 en gratin possible et 30 en Ligue B en compagnie de une roman précis adoptée cette hors de saison où les équipes se rencontrent à triade reprises. “Ça nous permet de finir la saison plus tard, mi-mai, puisqu’on ne participait pas au play-off. C’est d’autant plus d’occasions pour expérimenter, se mesurer, s’évaluer. Ça permet de beaucoup jouer et ce sera vraiment la meilleure équipe de Ligue B qui montera.“
Des jeunes qui s’expriment de la sorte sur la accrochage internationale. “L’évaluation de performance se fait sur les équipes de France Jeunes auxquels ils participent. Les résultats de ces équipes valident aussi notre travail, plus que le résultat sportif en Ligue B”, souligne Jocelyn Trillon. Les U 18 auront un carrousel adjectif aux championnats d’Europe en janvier ; les U22 le challenge d’Europe cet été, les U17 les championnats du monde…
Un agenda chargé qui nécessite des étape de expectative, puisque ces paire semaines à Noël, derrière iceux qui ne partent pas en préréglage, exempts du boxing day, qui fera badiner les pros le 30 décembre (12e jour) et le 3 janvier. Quelle spirituel d’prénotion !

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