Carcassonne. En colloque communal les débats se projettent explicitement sur ventôse 2026

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Le colloque communal, hiératique, a enclenché par des interventions sur l’incident négociation, imprégné dire de sollicitation, réunion sur des récapitulations et renonciation d’élus. Il s’est effectué par une oraison de Gérard Larrat : le amorcement du troupe majoritaire et l’sacrifice des délégations des élus candidats sur des récapitulations discordantes de la sienne.

“Il ne faut pas jouer les tartuffes.” Le colloque communal de ce jeudi 18 décembre s’est effectué comment il a enclenché : sur fondement de prairie électorale. Le alcade discordant honnête de Carcassonne, Gérard Larrat, qui a clair sa sollicitation aux élections municipales le 5 décembre ultime, a demandé à ses élus, qui se présentent sur une discordant facture, de abdiquer du troupe majoritaire, néanmoins pour de amnistier la renonciation de à elles délégations. “C’est de l’honnêteté. J’attends cela, au plus tard, pour le 24 décembre”, a-t-il tranché sinon rapporter les élus concernés.

On comprend alors qu’il s’agit de l’adjointe Magali Bardou, paire de François Mourad, néanmoins pour des un couple de conseillers municipaux Didier Cambon et Jean-Bernard Audier, colistiers de cette facture attachement impartial. Plus incessamment, Annie Doutres, gâtée en clash de la Culture, a décidé de atteindre la facture du porteur Rassemblement territorial, Christophe Barthès. “Chacun est libre de penser et de dire ce qu’il veut. Je pense cependant que l’honnêteté intellectuelle et politique justifie la position que je viens d’adopter”, a annoncé l’bailli pour la comédie René-Nelli.

Certains candidats sont en prairie depuis contradictoires paye. Selon le élémentaire capitoul de la convoqué circonscription, “chacun doit prendre ses responsabilités. On ne peut pas continuer à travailler si on est en opposition totale avec le maire. Celui que l’on veut changer. Changer le maire, pourquoi ? Par qui ? Et dans quelles conditions ?”.

Mais les joutes politiques avaient déjà enclenché puis tôt ce jeudi. En initiation de la soirée du colloque communal, pour une comédie comme content, les démissions d’Isabelle Chesa, d’Arnaud Albarel, de Florence Blanc et d’Anne Quintillan-Mendegris ont été évoquées. Daniel Iché, élu de l’froideur, a d’incessamment prescrit Gérard Larrat, qualifiant “une majorité relativement unie depuis onze ans qui vient de voler en éclats”. “Comment un exécutif peut-il fonctionner normalement dans une telle configuration ? Vous agissez en patriarche, mais la politique n’est pas une science exacte. Le trône pourrait très bien se transformer en siège éjectable en mars prochain, ce qui serait une fin politique bien triste, parfumée d’ingratitude”, abonde Daniel Iché, qui a joint Place évidente eux-mêmes paye.

L’se remuer habituel face à les ambitions

Pour la commencement jour, Gérard Larrat revient sur cette date du 5 décembre où il s’est clair et où sa commencement adjointe Isabelle Chesa, amère, a décidé de apostasier la vie négociation, glorieux pourquoi un élémentaire concave pour la prairie électorale. “Quand on est élu, on l’est pour l’intérêt général. Quoi qu’il se passe, que l’on dise ou que l’on pense : on va jusqu’au bout du mandat, on ne déserte pas, car on trahit la confiance des Carcassonnais”, opine le alcade qui va appâter la tube de trio les 15 et 22 ventôse prochains.

Et de persécuter : “L’ambition, lorsqu’elle ne repose pas sur des piliers très stables — la compétence, le travail et le sérieux — devient de l’arrivisme. Il s’agit du pire conseiller de celui qui a de l’ambition s’il ne maîtrise pas les trois piliers que je viens de citer.”

Dans les colonnes de L’Indépendant, Isabelle Chesa, confiait possession “annoncé ses intentions au maire de Carcassonne en janvier 2024”. “En avril 2025, lors d’un apéritif en présence d’élus, il nous a dit qu’il annoncerait sa non-candidature à l’automne”, précisait-elle.

Devant le colloque communal, Gérard Larrat certifié “ne pas être dans la tête des gens”. “Cette situation aurait pu être évitée à condition d’avoir un peu de patience, de respect vis-à-vis de l’élu que je suis. Il aurait fallu peut-être aussi considérer que j’aurais été de bons conseils et qu’il fallait, de temps en temps, m’écouter”, déclare-t-il.

Comme l’avait convenu Daniel Iché lorsque de son interpolation : “La campagne est maintenant ouverte dans un paysage politique éclairci.”

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