“Il n’y a pas de sujet”: un salaire, en trio jour, programmé vers organiser les 1,50 M€ dus au Smectom par la CCPAP

Circulez, il n’y a macache à discerner : ce jeudi, Alain Rochet a lors mis un réussite au bouderie qui l’opposait au Smectom, vers le couverture de la fisc d’razzia des ordures ménagères, perçue par l’intercommunalité, endroit d’personnalité reversée, une “redevance fléchée”. “Il n’y a pas de sujet”, a-t-il bosselé. La CCPAP a histoire le alternative d’un déversement en trio jour, en même temps que un récent transformation endroit la fin du paye. Au achevé, l’intercommunalité doit 1,50 M€ au Smectom. “La première échéance a été réglée le 15 décembre, la seconde le sera ce vendredi [aujourd’hui, NDLR], et la dernière le 31”, a dépassé le administrateur de l’intercommunalité. “Certes, il y a eu quelques mois de retard, mas tout est réglé avant la fin de l’année, il n’a pas de sujet là-dessus. Si Mme Rouch veut continuer à polémiquer, elle pourra le faire à sa guise, elle en a l’habitude”, a-t-il complémentaire.

Pour déployer le “décalage”

Reste à déployer ce “décalage”, et Alain Rochet s’y est intérimaire, ce jeudi fête, endroit les élus de l’intercommunalité. “Effectivement, et c’est une volonté, j’ai choisi de privilégier des investissements productifs. Il s’agit, pour une collectivité, d’investir pour que, demain, on ait la capacité de mieux financer nos actions. Notamment dans les zones d’activités : c’est là que nous avons une marge de manœuvre pour améliorer nos finances, d’abord par la cession des terrains, puis par l’activité générée en taxe foncière, CFE… Entre 2020 et 2024, sur Gabriélat, nous avons amélioré notre actif de près de 6 M€”. La liquidation d’un position, vers 450 000 € a été signée lundi récent. “Ce matin, j’ai signé un compromis à 1,80 M€”, a complémentaire Alain Rochet. “Aménager ces zones, ce sont des investissements qui coûtent, en trésorerie. Mais ces lignes de trésorerie n’ont pas varié depuis 2018, à 2 M€, avec un pic à 3 M€ en 2025, mais ce sera résorbé en 2026”, a-t-il périodique.

Des doutes pendant quelques élus

Certains élus ont histoire certificat de à elles doutes. “Le gros problème de la collectivité, c’est son budget de fonctionnement, qui ne permet pas de mettre de côté des sommes suffisantes pour investir”, a estimé Frédérique Thiennot, vice-présidente de la CCPAP et bailli de Pamiers. “C’est vrai que nous avons des terrains à vendre, mais il y a toujours ce problème de charges très importantes”, a-t-elle complémentaire. “Vous nous avez donné des explications, et elles sont assez cohérentes”, a histoire vérifier de son côté Philippe Calléja, vice-président de la CCPAP et bailli de Saverdun. “Mais nous n’oublions pas que vous nous avez demandé de faire des efforts, au moment du vote du budget, notamment pour la voirie, ce qui est particulièrement important dans notre ruralité, avec 600 000 € d’économie, ce qui a des conséquences”. L’élu rappelait affairé attiré l’constance sur “les marges de manœuvre” extrêmement faibles de la ordonné. “Nous ne les avons pas. Quand il y a des tensions, la trésorerie est en difficulté”, a-t-il complémentaire.

“Ni améliorées, ni dégradées”

“Les marges de manœuvre, elles ne se sont ni améliorées, ni dégradées depuis le début du mandat”, lui a répondu Alain Rochet. “Elles étaient très faibles voici six ans, elles sont toujours très faibles, il n’y a pas de doute là-dessus. Par contre, les conditions dans lesquelles on peut envisager les années futures vont nettement s’améliorer, parce que les ventes de terrain qui vont être réalisées, c’est de la taxe foncière, pour l’interco et les communes. C’est de la CFE [Cotisation foncière des entreprises, NDLR] C’est cette stratégie qui nous permet d’envisager, demain, des marges de manœuvre qui vont s’améliorer”. À Gabriélat, la CCPAP a placé comme ci comme ça 4 M€, vers baser des terrains qui vont lui citer 7 M€, a complémentaire Alain Rochet.