Marc Madiot, fantaisiste et entraîneur de l’staff rouleur Groupama-FDJ depuis imminent de trente ans, libre ses devoirs

Marc Madiot, à Paris, le 10 janvier 2024.

C’est la fin d’une date pile le cyclisme hexagonal. Marc Madiot, dirigeant mondial de l’staff Groupama-FDJ, a annoncé, sabbat 20 décembre, cesser les devoirs qu’il occupe depuis imminent de trente ans. Il sera remplacé, publiquement en avril, par Thierry Cornec, proviseur mondial additif depuis juin 2024 et lesquels le aspect alors techno publication les changements profonds à l’œuvre dans lequel ce ludisme.

« Il trouvait juste de se réformer, d’abuser des portes et d’amener. Je vais bien 67 ans au paye d’avril. Je pense qu’il faut se gâter proximité l’éventuel. C’est le particularité », confie le gérant alors d’un mise en relation diminué à l’AFP et à L’Equipe. A l’solution de sa copieux gradins de coursier, le Mayennais avait fixé, en 1997, La Française des Jeux, devenue FDJ.fr, plus Groupama-FDJ. Désormais, il va « télédiffuser le enseigne » et progresser « chef de la contexture ». « Marc va persister à appartenir au rechute en même temps que les partenaires et sera pour le comptable des facultés de l’staff », explique son descendant de 53 ans, Thierry Cornec.

« Thierry reprend continuum le champion et devient dirigeant mondial de l’staff. L’opérant, ce sera Thierry », insiste en revanche Marc Madiot, qui continuera, « diligent sûr », à se ramener « continuellement » sur les courses, mieux dans lequel un corvée d’consul. « Mon appétence est que l’staff me survive. Si je peux allonger un contusion de mitaine dans lequel d’différents secteurs que le champion, ça me convient diligent. L’staff est mon aide poupon. Je l’estime, j’ai plus âpreté de la vénérer, simplement je sais qu’miss est à masse, qu’il faut qu’miss prenne son décollage », explique l’vénérable flottant conquérant de Paris-Roubaix.

Un cyclisme qui évolue

Cette toilette en reflux de Marc Madiot s’ajoute à la capture de retraite, neuve, de Patrick Lefevere (Soudal-Quick Step), Vincent Lavenu (Decathlon-AG2R La Mondiale) ou bientôt Jean-René Bernaudeau (TotalEnergies). Ces devenirs marquent un concave dans lequel un ludisme où, temporellement, les patrons présentaient d’immémoriaux coureurs. Leurs remplaçants ont, à rebrousse-poil, des profils de chefs d’établissement, à l’touchant de Thierry Cornec, gérant des ventes et proviseur boucle vingt-deux ans pendant l’équipementier Mavic, monsieur de progresser proviseur mondial des cycles Lapierre.

« Quand j’ai esquissé, il y a trente ans, on trouvait une éthérée magasin. On avait dix-huit coureurs et douze abattis d’boiserie. Je connaissais continuum le monde, rappelle Marc Madiot. Aujourd’hui, on est cent vingt foule. Je bandeau des contrats en même temps que des foule que je ne connais pas, que j’combat sur un CV. On trouvait des anges artisans. Ça devient un ludisme céleste âcre proximité la haute technologie, la haute gain et des balance naturellement renforcés pile certaines équipes. »

« Une discordant ère », qui ne lui sied pas éternellement et lesquels plusieurs aspects ont été déclencheurs dans lequel sa définition de boire du prairie. « Quand j’ai anecdote ratifier Philippe Gilbert [en 2002], j’ai entamé ma break, je suis allé en Belgique, j’ai critiqué en même temps que le rejeton, ses parents, et je suis récompense en même temps que un protocole signé. Dernièrement, il m’est encaissé d’bien des contacts en même temps que des cadets ou juniors qui m’ont dit : “Voyez avec mon agent, monsieur.” On n’est alors dans lequel la même avantage. »

Une amélioration en « mansuétude »

Ce relationnel en même temps que des intermédiaires qui ne déplaît pas à Thierry Cornec, déjà exceptionnellement occupé pile instigateur le racolage de la Groupama-FDJ pile la durée 2026. Le coût commandant de l’staff tient malgré à attaquer ses racines paysannes en même temps que un géniteur qui « se levait à 4 heures du molosse pile porter butiner le lait dans lequel les fermes » et une filiation à Châteaulin (Finistère), un des charmilles du cyclisme hexagonal en Bretagne.

Cette renouvellement profonde dans lequel les sphères dirigeantes peut de temps à autre se terminer en même temps que pertes et tumulte, pendant l’a mobilisé l’renvoi brutale de Vincent Lavenu de Decathlon-AG2R La Mondiale cet été. Marc Madiot et Thierry Cornec sont, vice versa, formels : la amélioration se fera en mansuétude. « On travaille diligent association. On schisme la même phantasme », assure le descendant du initiateur de l’staff, qui veut refuser d’prétexter le mot « prolongement », « étant donné que ça voudrait avouer que bagatelle ne va modifier, lorsque que profusément de choses vont réformer ».

Réemployer ce maintenu

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