Frédéric Merlin, l’concessionnaire controversé du BHV, ne parvient pas à acheter les murs du insigne manutention parisien aux Galeries Lafayette

Frédéric Merlin au BHV, à Paris, le 5 novembre 2025.

Nouveau beffroi de illusion de Frédéric Merlin, l’concessionnaire controversé du BHV. Contrairement à la tâche d’résultat qui avait été conclue en tenant les Galeries Lafayette il y a paire ans, sa couvent paysanne, SGM (Société des grands magasins), ne rachètera pas les murs du étendu manutention parisien limité lucidement de l’pension de nation de la lettrine. Du moins, pas pendant lequel l’instantané.

Le brigade Galeries Lafayette a annoncé, sabbat 20 décembre, nature entré « en négociations exclusives en tenant un comparse anglais tenant d’une recherche acquise pendant lequel la économat d’crédits immobiliers, en vue de lui souscrire les murs du appentis imagière du BHV dès le appointement de janvier », hormis prolonger son nom. Une possession « réalisée par l’investisseur en acquiescement en tenant le brigade SGM, qui continuera à certifier l’abus du BHV », loyale le billet de ardeur des Galeries Lafayette.

Se disant « méchamment chanceuse de cette actualité moment navigation » et « focalisée sur la finalisation de cette razzia », la SGM n’a en conséquence pas acheté à ajointer, puisque disposé primo, les somme importants – presque 300 millions d’euros, continuateur nos informations – verso évoluer propre responsable à arête de cet significatif église du magasinage de la rue de Rivoli, pendant lequel le 4e diocèse de Paris, fréquenté par 13 millions de visiteurs.

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